l’avons dit, chacun à l’espèce1 des tympan' que? leur offre le èràiie,
fixant les bords- de leurs parois aux bords osseux de ;ee cadre,? dont
le vide n’est rempli que par mterpaembràne élastique dqnt npus
avons parlé, et dans laquelle on voit deux à tiois filets • osseiix. mkh
minces qui la^soutiennent.
M. Delalande a rapporté du Brésil un 'ffiyrtprcsl^êijiïiè-
rement semblablç à x^ux .dê.bt;vlîkiçli^qufit si-gf^|i’çsft que
les striés du bord d ersonï»'Opé|'ouié ^avancén t sur le di&quli
de cet os jusqu’à moitié- de. -saidaigeur; ut davantage^ il
parait aussi avoir eu uùé1 teinte-trèg^Uge.
Il en est arrivé un semblable dfe la Hayànié1# 1M.'©és’Æa-
restj àvànt que la luïâtire îf^uf ^'deê^re^lliteinT^^fàit
d’un beau rouge aurore.
Nous hésiterions aÆre^dp ifpjËdeux poissons uqe espèce
p a r t i ^ f e ^ s u r un caractère ,?4f$k J^agn^^ç tco plus rxm
moins .d’étendue dos stries-de leur .opercule; : ÿ
On peut s’ëtonnerque de si'beaux pois^on^oeii^ieirigité
remarqués ni par Margrave, ni par Plumier; ni par
et qu’il n’en soit tombe'auèun mdivîdii%dus M yêu'x ®es
naturalistes qui ont travaillé eti Europe ” sur dés collections;
mais il est de fait que personne’Ua parlé avapt nous
des myripristis d’Amérique. 1 ,
Dès M yrïprèstis d ’jt£Îèè~~
Forskal, Commerson et Russel ont; comme ribus lafiÿns
dit, obsérvé dés myripristis dkns^Iajfner Rouge e t dan’s^la
1. Ceci était écrit et lu à l’Académie des sciences (en jSa&Lavant que M\ Des-
marest eût publié là ligure de ce poisson dans le Dictionnaire cïàssiqUé 'à’msioire
naturelle.
mertdes Indes*, et nous-mêmes en avons reçu des différens
pkTa^èBtfde dernière hier; màié efek poissons se ressemblent
itfUement qu’i l s difficile de les caractériser, et plus
difficile Encore, de’ discerner'; dans les descriptions de ces
Muttraliètéf fes: espèces qu’ils dnf éptessôus les yeux. Nbus
^joaifi^idbb'c' de%>18|)îirèr' d’abord les myripristià
dé^dddea que iidiïs*possédons, entre eïcx èt avec ceux
<xAffiëfiq‘uîPf*et, noué délayerons éusuite de les retrouver
dans les auteurs, que nous vêtions de citer.'
D e M y r I Ç Ç I ^ I S -M X PO R T P r A S L IN .
W^'Mypipfistià firüMntus, nob.)
NoutS:1édi avons rbëu'un du port Praslin à la -Nouvelle-
Irlande , d ou il a^ e 'rapporté par MM. Lesson et Garnbt,
qui ne diflSçe jïé celui d’Amérique que par des traits faits
pbur ëèlfappgr à^quicqnqué ne les comparerait pas avec la
plus grandet attention.
y$k>n crime' est un pèu plus large, l’intervalle des yeux n’est que
trois fQïS dan^lfL longueur delà tête; dans l’espace d’Amérique il y
est quatre fois.
Le bout du iï^^âu è§t pïtià Côttrt èt plus' VêfdcaL
, Les palmtu-es' du, crâne sont beaucoup plus subdivisées, et se
composent de filets nombreux mmees et serrés.
On compte un raydn mou de plus à la dorsale et à l’anale.
D. lO -T- l/îîèj A. 4/14, etc.
U n’y a de noir qu’au bord de l’opercule et dans l’aisselle de la
pectorale, mais non à-l’épaule.
Les pointes des trois* nageoires verticales sont moins aiguës.
Notre individu est long de six pôücèà.