UPÉNÉUS. 329
Rouge, pesant quatre-vingts liv res^ ou bien il s’agissait
de quelque antre poisson qu;e sa couleur rouge avait fait
regarder-comme un mulle,qùobablement de notre rheso-
prion rubeïlus (t. II, p. 36o ).
,Fondrai ^ om m ^ sb n ét; Russe! ont décrit une partie
çdes ftüulles 'de la merï dés Indes jj et on trouve des figures
grossières] de. quelques-uns dans l ’ouvrage -de Renard. Margrave.
•& fiait .connaître un de c eu i 4-Àtoerique..
m fJNbüs avions! c^U'ïfîqweuable de .'distinguéeces poissons
dés mullés ordinaires-par un; nom spus-vgénériqùè, et nous
aVons choisi pour cela celui à'upépéusy qui n’a point de
signification fixe dans lès anciens.
Ompeut dès*à présent les diviser en deux petites tribus,
selon que leurs .dents sont à chaque mâchoire sur une
étroite-bande-de vélo urs comme dans la mâchoire inférieure
do^ ceux d’Europe, ou sun^une seule rangée, dis-
tinjct^Jes^nes des autres et de formo Monique ; et la
premièrè, de ces deux tribus peut encore être subdivisée,
spjfim qu’elle a des dents à certaines parties du palais, ou
quelle,y en manque tout-à-fait.
\,° UpÉrifÉus. <Dm Indes- à dents en velours aux deux
mâchoires y au vomer et aux palatins.
X ’U p é n é ù s b a y é . ■
y [U p en eu s v i t ta tu s , nob. j M u llu s v i t t a tu s , F o r s k . e t G m . } 2
Un des mieux caractérisés dans la tribu à dents toutes
en velours,1 est le mulle rayé, dont Commerson a laissé
1. Pline, 1. IX, c r i 8. Mullum octoginta lïbrarum in mari rubro captum Liciniu*
Mutianus prodidit. — 2. Mullus bandi, Shaw, t. IV, 2 .e part., p« 6 16 .
3 . 4 a