La cause de cette négligea cl^ijpit de ce qüéComme$§in
et Forskal ,iseuls auteurs d’après qui l’^pût* en
1 aspro totus rubens de? Fun* et le sçioena murdjafit de
l’autre, sont de ce genre), n’ont p o in tapèlV Fai^»sl‘prtir
ce que leurs-gspèces put de plu&»®ei^arquabl&3i:'
g récerniuput M. PatpceJ^us$eJ^daus Fo^sops de
Yizagapatam, en. a ppbl^é des' figures%qui, sans^Aqu|ta,
auraient attiré davantage Intention d^jMqlQ.gis.tes;.rnais
c’çst av^g, les ”§pares , qu’i l , les. rangebtrjé^Lq^afetciati.Qn
n’est pas moiqs, contraire ^^a .najture jjjÀe.cçfLes, qu’âEsaiept
indiquées rorskal e^jCpmmexspn.
Il existe cependant des, myriprlstig,dansrle&.deu^ i c éaas ;
la Martfiûquf ^lÇql^, le* Br (feiLên-, gaosgjqd enpQHjgner Iqs
Indes, Orientales, e t , la ( m,e;ç.,Bo u g e^ e t.mçme
esp^céff d’Jonérique qui nquscnt le^ Lks ’
caractères, du genrp^;,
La place„naturelle*des mgripmtis sembleiaitau prèjrrâj
coup d’oeil auprès des. appgDùs, d o n p n t la tournure
générale; mais quand on entre dans ffe détaiL^pri trouve
qu’ils se rapprochent encarejbien davantage des IioeÏVh'
cen trams par les cannelures de* leurs 'èraaâé&l. p a5“l||l|Èu-it
rayons de leur membrane braijrqbios
la base de leur caudale, et -surtout par- lé§ sept rayomfi
mous de leurs nageoires yentràles ^%aiûctère qui 0 à&ns
l’ordre entier des acanthoptérygieûS', n’est partagé que
par les myripristis et les holocentrums.
Les myripristis diffèrent principalement: des-.fefâlaeen-
trums à l’extérieur par l’absence d une-forte épinefibi’angle
de leur préopercule; leur dorsale est aussi «plus* profond é*
ment échancrée, et même le plus souvent la membrane
de sa partie antérieure finit au pied du premier rayon de
la posfériéu®e, mai& sans^s’y attaclier et sans qu’on puisse
dire Rigoureusement qu’ils n’ont qu’une dorsale unique,
^ fo u s^ p e lo n s ce'genre du ném de myripristis, qui
mille sciés), pàlce'que toutes les pièces qui
gafniÉlnftla rare' toutes celles dé l’opercule et toutes les
écaiÜes S&n t "le t p ||l den’fefê,' et que c’est la ce qui frappe
le plus au preiàiier ^.spejCt de "çes singuliers poissons..
L e ; Myripristis d’Amérique.
. {M y r ip r is tis J q c o b u s , nob.)
décpvonsd’abord l’es|pçe que.upus.qvonsreçue en
p lu s grande quantité ^eelle qu’à la Martinique ou nomme
vulgairement, lufrhre Jacques,e t que nous appelons a cause
de? ©'#1€ myripristis Jacobus.
yjÇf a c o r p s c o u rt, h a u t, médiocrement comprimé, la
, :e fa lâ tp eu e courte et mince* à peu près comme l’apo-
gon._Sa hauteur n ’est pas trois fois,dans sa longueur to ta le , et la
longueur de, sa?„tête n’y est pas trois fois et demie. Son oeil est
très-grand, et d’u n diamètre q u i surpasse la moitié de la longueur
- de sa. tête. Les- orbites éehancrent un peu les côtés du f r o n t, et
l ’intervalle d’u n oeil à l’autre est du quart d é j à longueur de la tête;
Vi^pn museau excessivement co u rt, et sa mâchoire inférieure montante
quand la bouche est fermée. On ne voit d ’abord qu’une
ouverture nasale sur le côté de ce co u rt museau et to u t près de
J’oejlj mais u à feston membraneux de son b o rd antérieur est percé
d’un petit tro u , qui est la secondé. Sur le crâne sont sculptés un
peu en relief des espèces de palmes, à b o rd postérieur dentelé, dont
les tiges s’avancent entre les yeux et s’y bifurquent. Le front a en
avant une forte échancrure demi-ovale, p o u r recevoir les pédicules
dès intermaxillaires. Une suite de petits sous-orbitaires forme u n
cercle étroit.autour de l’oeil, et ce cercle offre deux arêtes, l’une et
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