L e P ria ca n th e d e ^ JNiph o n .
( P r ia c a n th u s n ip h o n iu s , noh.)
Un priacanthe plus p e tit, rapporté aussixdes mers du
Japon, et par le même naturaliste, .
a les nageoires plus égales ; les dernières épines“'d^Tla dorsaléKhn
peu - moins hautes que celles du milieu celles i,de Panâfe Régales,
toutes striées longitudinalement ; iCëMesrïles. ventrales ^striées, aussi,
mais non dentelées. Les rayons ’ m0 us4.de s ces tro{s nageoires <s ont
agrès et même un »peu épineux. Ses écaillés sQht^glus^rçofojjtdé-
1™>t dentelées q u a aucun autre. Il y *a, sur le limbe da^son^pa^o-
pe rcule , vers l’angle, des arêtes saillantes? T-,p»|hnifrl
inférieur n ’en, est pas finement dentelé, mais agd.es ; d en ts.
et semblables à de petites épines. Sa-ligne' latérale, dtas;* sejfot’iers
antérieur, se rapprochedittUbs pan u n e c triM m é plus marquée.
D. 10/115 A. 3/10; C. 163 P. 16 /T .^ ^
I l est plus élevé de sa partie moyenne-queUte îmcrpphjtalme.
On voit-encore que la membrane de ses».^ni.TOl;es^étoij|^,g.iÂ-w -,
que celle de la partie épineuse de sa> dorsale. et«A^sh,n. anal.- jevj
brune du n o ^ e dans la ihjfi&tté postérieùre 4 dé' cnllpie mfeaValle ;
qd’il y avait des points b ru n s sur les rayons %j©us d e ^ ^ Pw ô is
nageoires verticales. ;
Nom ne savons pas quel était le fond.de çâ.ooideur : se©,,
il parait d’un gris brunâtre,-avec cinq larges b&ndes-brunes, qui*
descendent'du dos et se p o rten t obliquement en avant.? la^première
vers la nuque 5 les trois suivantes sur lea!fSmc ; la cinquième est
su r la queue.
Sa longueur est de trois pouces et demi ; .sa hauteur d’un- e t
demi.
Le PrÏ ACANTHE A? 1LONGUE ÉPITÏÈ.
(P r ia c a n th u s rridcrâcanthus, nobi) *
;S Nom devons à,MM. Lesson et Gamot tme.e^pèce^tfcès-
paPtieulièredo-pâafcaÉthe, qmls ont.apportée d’Amboiae.,
et qui sfeîdistingue sde'toutés les ipréoaàentes.
pa r u n $ ||s p s . ul p eu ’p l u | âldhge, jet^suptom p a r l’épine de sot/
p r é o p é r c ü # / q u i l o n g u e et pointue, comme' à un holocentpam.
La denteluïë dé'-^fet:.préôpèrcul«* ési! d’ailleurs d’unë ’finess« eires-
• siVeÿét elle-ne'se montre m ême sttrd epine qu’à^sa base ; maè’, du
restq, cfetté^espèce ressemble eü to u t aüx autres ; elle parait aussi,
daris la liqueur, ar’gphtèé ’et te in te vCTslè dôs d’nn gris^rotissâtre ;
p ro p o rtio n n e llem én tcn ^ y e lfey ru ia " ' la dorsâlfe la plus haute.
A ..3/14-3 Ci ï f o P . i ï - J . 1/5^.
Les ventrales paraissent'avoir'êté rougeâtres. Leur ràÿon épineux
égale lesîinous en longueur. Dans les, préeédens ^il est un peu plus
c o u rt, si de ri’èsr dans ïespécé dés Cardîmes.
Nous offrons enfin devoir rapporter a ce genre et nomm
e™
L e Priacanthe argenté
iP r ia c a n ih u s a r g e n te u s t nob.)
le waboulàng ou plutôt wawoulang, appelé aussi silher-
Jish (pjDÎSgon- d’argent), et représenté par Renard, part. I,
pl. 1 2 , fig.,72, d’après Corneille de-Ylarning, n.° 12.
Là formé de son préopercule est u n peu mieux rendue dans
- l’original que dans la copie : du reste, p o u r l’oeil et p o u r toutes
les formes, il ressemble aux autres espèces du genre. Ôn le repré-
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