l iv r e imorisfèoeib 6 8 percoÏdê#,
. Llopereule osseùxrsè teiîhine^eniangleobtsùs-v-fetquand on lesjiébar-
rass® ; de .son pf<>fomge0a^it^p^raiilwaaa®ux:, oùtysvaitpiitssi' uélSësfe^e
d ^ p fe n d u re . L’mtermaxülaireïf^bbôfedé’d ’ttbdjpetitejlèVpët^iarwae,
et il y a deux ou, trois raies de chaque oôtê de la m â d w e infé-
* rieure. Les dents sont en velours-,- sur de p r^ f e -handes aux'dèux
^mâchoires. Le b o rd antérieur de ii^ n jïé rié u r e 'e n a de plus fortes,
mais égales entre e®bs. Il y en a unp fijggée sur le devant du voûter;
mais je n’en vois p a s aux palatins. Là langue est lisse etfÿàûs. auGunes
dentSi La plus.grandepartâe -des os' pharyngiens esVgarnièfde dents
en pavéi^c’estrà-dire en cylindres-^urtat,,'tronqués et .arrondis; p a r
le b o u t, auxquelles s’en jo ig n e n t ep a y a n t ët^ en, anàjère quelques-
unes pu^gços velours. I l n ’y a ^d^éççü&s n i aux lèyras, n i aux ipâ-,
c h o ire s , n i aux so u s-o rbitaire s . n i au front jusqu’au-dessus des
y eu x , n i a la membrane <p& nranchies; mais l,i jque e t l e s pïe’ces
s "ôpércûtaufè^ èn 'Sont garaîeF“ comme '1 é c o r p ^ ''r a u e / r u l^ iP ju u *
J ‘ sént* dé moitié p lu s pétixes que les attires : 'to ù të s 'o n t5pms? a » lâr-
■ geur q u e ’de lo ngueur, -et paraisstenV’lisses1 ‘àrjPlfeil n n <lWaut une
assez forte loupe p o u r bien v o ir-leu r âpreté e t 5fr ia,r^ OlVt " L< ut-
b ord radical a vingt,fcrénehires-: OMt en (compte dix-huit oiivjiïjâgt-
sur une ligne yprt^ale ,,e j uente-ijrt^S .Ô uÆ é n tfe q n a t^ « u r une
ligne lo n g i tu d in a l e ,^ il y en, a en outre u e pépites la base-de
la caudale^sLa lignellatérale.est parallèles-au ;d©s,Aà un©ad|ttaacé
moindre q â à l e tie rs de la hàuleuirÆduveiïtuéedeslêMfesiiest' grande ■
leu r membrane n ’a^que vsix fraÿons.pLes pefctoralësngttatei «ento iles
sont assezxpoihtues ; la dorsale et l ’anale jJasseja^fdesitei^ibi&Wehr,
terminées u n peut en angle u n a rriè re jjjj la; caudale |-uûtgea^bife^ée^
Les bandes de petites écailles se-voieiit ëntrelle^bases qlêsa^ây©ps.
Les épines: dorsales et analeSï sonti assez ,
q ui 'sontreouBtes.1 j sa
l lies nombresdes rayons sont comme :il suitb ? y1
: D. 10/IÉ/a. â/lO* C. 17; P. 13; Y ^ î/É ^ '
Les ventrales.sùnt unies au ventre p a ru n fe cp n îin u a tiq n de lgur
. membrane, et? ces deux membranes se touchent.; Entre leurs bases
est une partie triangulaire, garnie de. petites écailles.