78 LIVRE TROISIÈME. PERCOÏDESi
L e P r îACANTHE DE B c È N O S -A y RES.
( P r ia c a n th u s b o n a r iem iS jj^ fa . Y ^
Nous avtms reçu.de Buénos-Ayres un petit priâcanthe
qui paraît être ëàeorê dunè efèpboe pafticuïièïërf<:i
Son épine est aussi longue a u 'm o in s qu ’au; male d ù 'iM ç re p li-
talme; mais son corps est plu«? co u rt à p ro p o rtio n 3 e sâj'hauteur,
et son museau plus obtus, quand sa houefae est fermée. .§qn ijrter-
opereule a les bords dentelés, comme son dperejtte. I lM ^ î t ; ^ a j n'
tenant argenté sur les .flancs et au ventre, et- te in tl^ p jm rpB e ^ fe rs
le dos; mais on n e p e u t conclure dé là ses; cgalraW àl .fiais.
D. 10/13/ À. 3/13 j G. lf ; 1/g, „ ,
L e Priâcanthe des G àrolistes." j
^ IMPriacanthus carolinus, nofl ) \ r
MM. Lesson et Garnot ont apporte' de laie, Ôualanâ àu
^uûe ^ès .Caralines:y un priaeaÊthté^É'ëreüfe-âes
pfécédens
p a r u n peu plus de longueur de s o n épine préopèrcuia^rê1 et^rkr
tme dentelure bien marquée, mais eicessivement fine, au b o rd /d u
préopercule. H est aussi oblong que le macro'plga'hne, et"1 sén ’ifeïl
est peut-être encore plus grand. Sa co u leu r, dans l’esprit de v in ,
paraît aussi d’u n gris rougeâtre argenté; mais on ne voit pas 'd e
liseré n o ir à ses iiageoirés. La partie mOlfè de la dorsale a f e s
points violâtres ; la eaudale en a de pins marqués encore.
B. 6; D. 10/13 ; A. 3/14; C. 17; P. 17; Yptj&. *V