foie a dessiùéetet semblable à.. celle d’Europe, meme rpar
la position de sa dorsale et de .sqs. ventrales à une certaine
distance plus en arriéré que la pointe des pectorales : la
distribution des couleurs y est aussi la même ; mais il est
probable que s j To»f \fièui à l’^aminer^en nature, on y
trouvera quelque caractère distinctifs Déjà les debts paraissent
dans fee dèssin beaucoup pins" égales que ne les a
notre spfoyrene commune. §»i cette différence ^i^niuyait
reclle, cp serait une espèce qui mériterait l,e nom do sph/y-
rcçrta japonic a mieux que celle que f e u e établie aven ie
prétendu silurus imbçrbis dTlputijuya-s
D’après la lecture qu’en a faite M. Ab'el Remuât, son
norA ja p p p a is^ kamasou* gtjeychipoisSQ^seif^iff,.,
CHAPITRE X XX II.
Des Paralepis. ■
M. 'Risso, à qui 1 histoire naturelle doit un si grand nombre
de pui ssons curieux cst aüssi celui qui a fait connaître
les blpèces'MnguiiePèS qui forment le genre des paralepis.
Leur deuxième’’dorsale est si fjêle que cet infatigable observateur
lbyait, crue d’abordtadipeuse, étayait en conséquence;
rangé ces poissons dans la famille des saumons et
dans?lexsous^genre des oorégomes^mals il est certain qu’a ie
a dcs'ràyopsyjet-qu’à laide d’une loupe il nés* pas difficile
dè lés’dompté ri
Ça piUAib^^dMl^ëtànt daillmirà soutenue par des
ràÿôtisbjmfteüx /le s’paralepis sont ties^acabtbbptéiygiens,
e t c est arinVes des sphyrènes qu’ils doivent naturellement
trouver leur place^qarilsen put le museau alongé et les
4 #nts trancfoantgs.Leurs différences principales, consistent
dans l’excessif reculenient de leurs Ventrales e t de leur
première dorsale, dans la petitesse extrême de la seconde
et dans' l’égalité dè lefcrs‘ mâchoires. |
Plus tard, M. Rïèfcd â reconnu quen effet cés poisàons
d6iV|nt former un gèbrê particulier, et il fa introduit dans
sa, nouvelle édition, t. III, p. 47 2*
Les’paralepis mprtent à Nice le nom de lussions, sans
doute parce qu’on leur a trouve quelque ressemblance avec
die petits brochets.