4 6 0 L # R È TROISIÈME, PlRCOÏDES.
aü b o rd et une aù milieu; celle du milieu-est quelquefois interrompue
ou irrégulière. La première dorsalè finit derrière la onzième
m é p in ^ et immédiatement après s’élèv-e le premier rayon .mou de la
seconde.
. D .H /14 ; A. G. 17 j P. 14ÿJT. 1fl.
MM. Lesson «eh Gainqt, Font entendu, appeler eï-eï à
Borabora : ce ^nom^ revient à celui êerit par
Fors ter, apparemment ayec 1’oithpgrapbe anglaise, qf^qu’il
donne à une espèce toute rouge^ qui est probablement
notre tiéré,
: • Z/ilOLOCENTRE A GOUTTES t) E LAIT..
(H o lo c e n trum la p tk p -g p tta tum , nob.)
Cette autre jolie espèce a été rapportée par feu Pérou
de la mer aes Indèsv! Î1
Elle ressemble au diadème, mais les deux épines de soit opercule
' sont égales j ’sa tête est plus la rg e , les tiges de' ses pàlmettes1 y'font
moins de saillie; on leur compté h u it brins • Sa<c.Oweur paraît Argentée,
tiran t sur le jaupbq^ifiLe:,, ou toute argentée ey,lifisëft,, sans
apparence de bandes ; mais elle est. en partiesjsemée derçèâ'gelits
points b ru n s , et il y a une doujjjg suite de taches opaques,, 'qui
paraissent d’u n blanc de lait sur la membrane de. sa dorsale épineuse,
laquelle finit vraiment au pied, de la partie molle.
D. 1 1/ 12 ; A .-4/9; C. 17 ; P. 1 5 ; V.-1/7.
L ’H o LO CENTRE POINT! LLÉ. ;
(H o lo c e n trum p u n c ta tis s im u jn , nob. )
Une jolie espèce, ou peut-être seulement une variété de
la précédente, a encore été, apportée par MM. Lesson et
Garnot de l’île Strong, l’une des Carolines.
L’indiyidu. e st.lo n g dfe quatre po u c es, et paraît argenté et semé
'QU' Comnje sablé sur to u t le corps de petits points po u rp res, semblables
à des piqûres de .mouches.' Derrière chacune de ses épines
dip&lies, vers le ;b » tt y lar membrane a une tache b ru n e ; sa tête est
courté et o b tu se , ses mâchoires égales. La première dent de son
sous-orbitaire, est à peine plus grande' que les autres : son opercule
a îdeux. pointes médiocres e t égale's ; celle de son préopercule n ’est
pas trè srfo rte ; mais sa troisième.épine anale l’est b eaucoup: ses
pàlmettes ont n eu f brins. -■ m
D. 11/13; A. 4/9 j C. 19; P. 15; Y. 1/7.
Z cH o l q c e n t r e BORDÉ.
(H o lo c e n trum m a r g in a tum , n o b .) . •
Cest jncore une petite ëspèce de la mer des Indes, qui
se trouvait dans f ancienn,e/4pUection du Stadfitouder.
Elle ressemble en petit àu.laliceps, mais son opercule a , à l’angle,
trcfts ou-quatre épines, et u n peu au-dessus e t au-dessous, deux ou
^ trois p lus petites, qui empiètent toutes sû r:sa surface pa r autant
d^air^S bâillantes. Dans son état actuel on v o it sur ses flancs quatre
bandes brunes , liséréés de plus b ru n j entre autant de bandes dorées.
Il y a une ligne brune au bord antérieur de l’anale, au supé-
' ' rie u r et àU’inférieur de la caudale, et au b ord de la partie épineuse
de la dorsale. Celle-ci s’u n it très-sensiblement à la partie molle.
Di 11/12; A. 4/9; C. 17; P. 15; Y: 1/7.
Z / H o LO CENTRE SAMMER.
(.Holocentrum sammara, nob.; Sciasna sammara, Forsk.;
Labrus angulosus, Lac ép.)
Ce poisson, donné tantôt comme une sciène, tantôt
comme un labre, est un véritable holocentrum et le plus
beau de tous. .
3. a i