lè trait, altéré d’abosd par Aubriét-et ensuite par le graveur,*
est presque méconnaissable, mais le dessin primitifnelàisse
pas de doute sur le genre, et même répin,e d^'p^ëQpercj^le,
par sa brièveté, est tellement semblable à celle d,ë notre
macrophtalme, qu’il serait Jr.^sjpospible que cetta* figure
n’en représentât qu’une Variété accidentelle jàé > ul«gur, * *-
Le P'RIACANTHE'feElL-DÈ^tÂUREAÜ. * K
(Priacanthus, boops, nob.j Perça boops, Forst.)u. "
Le perça boops de Fors ter, ou le bull-èje (ceil-dé-
taureau) de, Sainte-Hélène1, donriépâr‘Bloch dans | i n
Système, p'. 3o8, d’après'les,manuscrits de^-Forytrrésous
le nom d’anthias boops, -est évidemmen^^pçbge) un pria-
canthe: on voit déjà, -d'après* la* desoriptio|a.>détailfae1 de
Forster, que toutes ses forméè®ont celles de notre première
espèce. La figure du mémé naturaliste, (l7*p^eetmTis/
la bibiiotbèque de Banks, et dont nous avons obtenu une
copie de la complaisance de M.me Bowdich, laiss&J^^tie'
moins de doute a.cet egard. EnfinTj^gqui décûle^wiit,
c’est le poisson lui-même, que ‘ n’ôiisV e uonsil c’^re^ y n i 1
de Sainte-Hélène par’MM. Lesson et Garnot, naturalistes
de l’expédition de M. Duperrey.
Sa forme est-tin peu, plus courte .que eeD* de'l^première espèfce.
L’angle de son préoperctcfe est u n peu moins d h tu s, et l ’épine nn
p eu plus proéminente. Le b o rd antérièur de l’opercule mollis
saillant en dehors, fl y a u n rayon m o u fle moins à la udi'Sâlë et à
l’anale.
B. 65 D. 10/13; A.,3/14,; G. 17* P. .19*
Dans la liqueur il p a ra ît, comme le précédent, d’u n gris argenté,
rougeâtre.. Le liséré n o ir de ses nageoires verticales est encore plus
m a r q u a ^
-4i Forster àéèfit sa »couleur comme d’un rouge écarlate
'fké&0pineu7n ) ; mais il sést glissé sans doute quelque faute
d’impression-dans. fe;'nombres de sès rayons, qui sont in-
d i« i|||e om m j^ suit (en ‘iës, Comptant à notre manière).
Dvip/2J ^ c?ëst< probablement fl)/l%, et la figure n’en marque*pas davantage) ;
. JL 3/ijk C.J|^(17); P. 18; V. 1/6 (1/5).
'“ ' L e P r i I c a n t h e i ia m r u h r .
| | ^ffîcivèûU'hcémrrstJtr, Ftjÿskq Ântkias hàmruhr, Bl.)
hamruhr d eF ’oTskal (p. 45, n.° 44) est mâni-
fêsïéifléâ#u!n-pdacanthe,''"et d’aprèsWdescriptiôn on pou-
\ai'l,}déjà juger qu’il devàit ressembler beaucoup au boops;
màis ^E.À||rvateur s’étant borné, comme il arrive presque’
jauip, à i^|ui3 qui voit une première espèce d’un
génie n fe tü re ^ , la ^indiquer des caractères génériques, il
aurait difficile’ <lë fixer .ceux de l’espèce sur ce
qu’il |§fc rapporte ; nous les avons*; trouvés mieux indiques
sur un (fffism fipt à Lohaia par M. Ebrenbèrg.
T% poisson y est représenté d’unë forme très-semblable à celle du
^ a c ro p h ta lm u s femelle, mais a^ec l’anale p lus haute et l’angle dû
^ ^ é o p è r c u i^ ç n c o r 'e moins pointu., fl est to u t entier d’une cou leu r
de vermillon claire et sans tachés ni. liséré,
D. 10/14* A. 3/15; C. 17* P. 17**V. 1/5.
On nomme ce poisson en arabe abu-hamruhr. Bloch,
Syst.i p. 3ô.^ en fait un antbias, et M. de Lacépède, t. IV,
p. 209, un lutjan.