, former de piquant ; les ouïes s o iit, très-fenK3ue'siret i;L,n’y,a, pas ,de
;d«mi-bran<^e#Uachéè à'J’opeiç($jle.c.Les. o§ de -l'épaule ne . se rnpn-
| tren t par aucune dtenterure,j. ipa):§ ,im, wojt_yn gr,aji4 rep h éçaiflpux
dans l ’aisselle; de la p e ctora le , et une petite éeaiüe pointue dans
celle, de la ventrale ; la pectorale est. pointue et du çmquiëme dé la
longueur dû corps, et a seize; rayons. Beâsépt*filets placés soùs
i - f g , le premier et ]feï'second:'iÿbtat, du idoublé plus lorigs que le
ceirps; le trôisièine l’a i l e fies quatre aMrbë diminuent rapidement,
- iet il a é te facile -de p e rd re lesdeux,,derniers sun les .in d iéd u s mal
, PDBservél. L a j^ n tr a le naît sbu«de BftdieU‘ deJite^S^rale,'.e%;,plus
; H en avant que dans la plupart des! autres es,^sa?p ;pip.jpi.pf ÿÿi!jbg&
î. a,us.si lm n .u u f peljf] de la pe<$®raJé; .La première dorsale naît vis-
^ ,à-vis le tiers antérieur de la pectorale, et finit .sur sa pointe; enp ejst
triangulaire et a s ^ t ,i^y,oj#émn4u^ e t îlexiblek _Ëntre elle é tla
'^cdfi.pB est u n Intervalle de-six ou 'sept écaillés : la sëconaë^e'st
trapézoïdale, u n pMe^pMs Wftgôfe étNipipeù plirs
J que la premiëréy'eùa une petite épine e t^q ilîn z e ^ a ^ n s 'Môu^idîbtit
le dernier fourchu. 17anale, :dé raêine fôimeVbt<plape&fr&-i^#ïs,- a
. ; aussi une petite épine; fiiais;ses rayons mçtasj ng &èntj^u?at4 nombre
• deçlpuze.
lîerrrcce ees deux nageoires la partie 4 s-
fait de cinquième de ^ lo n g u e u r to p d e ^ e tT a cam aïe .q u i la t&r-
: ïnine; en fait plùVdû quart \ elle est1 fb u ^ iu e ^ s u r les ‘troi-s^uarts
r W s a ! lbfignel&j£s^ branchies' sé: f ^ tn ï f i ^ j ^ 'S l é f e fW la
est là plùsTongue. Sur et sous sa base sfint dé pefifes peiriteSf ufeïs
très^peu sensibles. ■ -
Les é iâ ^ e s sOSïtrmé®dci(iès '; il f efr a une soixantaine : s u r ’fine
ligne , èïitre K ffiïew ïa queue; on fié sent‘pas leur rudéssé'an.tàct :
il Tant firiejàèséÿ forte & t ^ . ' ^ c ^ :ÿT'bi^l'âpt*écé- «tfléâ dentelures.
La ligne -latérale se marque par u n petit tube sur ’chaque écaille >
d o n t la suite èstf continue et sé prolonge sur la.c^hffàïè.
Nous u’avons pas vu de péîs’sôn-mangue qui fut long
de plus ;de huit; pouces. M. Buchanan dit que, sa, taille la
plus ordinaire n’est que d’un demifpiêd; M. Dussumier,- à
qui noùs dêvofis deüxindividùrde'èetté espèce et qui les
/a-observés à l’état' frais, ùOùs dit qu’ils étaient d’un jaune
citron,- et que les nageoires et les- filets sont d’un bel orangé.
Cependant il paraît^d’après M. Buchanan, quefle plus grand
nombre des -individus est argenté,; avëc.des reflets dorés et
pouîpréSf!et u&e teintë*verd&tre-sur le dos; alors les nageoires
sont jaunâtres, et celles du dos:iont pbintillées
de noir. M. Buchanan> qui appelle ces mangues argentés
polynemus ri$iuty appelle ’les jaunes polynemus aureus;
màisdl hésiWà'éri'faire-une espèce-ppfticùliërë, et il croit
plutôt que lëûr beUë’couléùr èst due à la saison, ét ne
dure que. pendant le temps du frai, car c’est alors qu’on
l’observe; e t en effet, les individus .rapportés, par M. Dus-
sumiér étaient pleins d’oeufs ou de laite.
M. ®ùchânan parlé aussi d’iin troisième mangue, qu’il
nomme polynemus toposuij 'dohtrlfs 'Côtés sont faiblement
mârquls’"de.' raies longitudinales noirâtres*, et où la< tête et
liés pectorales -sont Peintes dé rougeâtre. Si le compte qu’il
donhe ’H'ës ndmbies de rayons à dacsecünde dorsale et à
l'anale est constant, il fournirait desjci^actëres plus sûrs
que cMë différences de couleurs.
Dans Te risua if a trouvecës nombres' dedix-sèptët de
quinze ;'dans Xaurèus1, de' quinze et de quatorze ; dans le
toposui, defsëhfe et de seize* M. Bussël les dorme dans son
tuptehée dédix-sept- et de* douze.
Maisi On 'peut croire- qüe ces différences tiennent en
partie à des‘Circonstances,individuelles, et surtout à la
difficulté de Bien compter les rayons en travers des écailles
qui les recouvrent.
Je les trouve daüS un squelette’ où ils sont dépouillés,
de sei^ë'-et d e quatorze; ce qui-est encore,un nombre
3; ' V rW . 35