1 7 0 X.IVR-E TROISIÈME. PEReQÏD-ES.
niers sont: fort petits ; les ventralestsVttaehmfi s&m le milieu de la
base dés-pectorales,- Qu’elles n ’égalent pas en
unè épine striée,'forte, ;et sept rayops mousjwune'r'ééaille p o in tu e ,
de moitié5de leur lo n g u eu r, mun itleu rn a se.*
La dorsale wtÈseÿp'sar ie iniüeu-du d o s . é g a l au <|uart
de la longueur du poisson; elle a six épines, qui vont en cnoissant
de la première, q ui eS6 trfes*e@ûrte, jusqu’à là sixième,; et q u i Sont
suivies de quatorze .rayons «mus.
L’anale commence sous le s ix i^ ieKÿ^$>;n dorsal ; elle a quatre
épines striées , plus fortes qjue celles du ^Qs^ et qui augmgntejnj, de
même de_la première à la quatrième. Quatorze r&yonsaaious ^es
suivent, et le ’dêrnrër est uh p èü p lus éri àm ë èo qifede d'erBïe-r du
dos. L’espace, entre celüï-ci eif la daudaïe' est d iî srxîëmè^lè#àJ lo n gueur
totale. La caudale ës't profondément f6urë^S^^,£pÏ0héè, p o in tu
s, d o n t l ’inféneur est un peü plus^TOmg etpreSque d u tiers-dë la
longueur du poisson ; ené-a les dix-sepl raydns -ÔTdiüairë^-cfciq
4 épines au-dessus, et autant au-dessous'de? sâ Basé:
On compte quarante-cinq‘écailles de fo u ie a la caudale,' et n y
en a dix-huit rangées Sur lia h au teu r, to l^ ^ rè c ÿ à u g id 'a irè s ^ p lu s
hautes que larges, et d o n t le.hord visiblé'êst ei? a ^ c ^ n V è x » r ïlu r
partie visible paraît à l’oeil n u striéé' et dentelée, mât? la Iohpe
m ontre que les stri,es consistent en pointes ’cbfich'éeS i'îé n i^ i^ tie
couverte est lisse'. La ligne latérale se reUiarqiie',p e u , ‘et smt p r^ q u e
parallèlement au- dos le premier tiers de la hauteur. '
T o u t ce poisson pajàît d ’u n beay. rouge h n lla n i de ‘ cuBre^xles
lignes de reflets alternativement plus roUge^foù tiran t pltis'Èt I’ar-
genté, suivent la direction des eeâiHè'S. T om e s ré s nagteoirê's sont
rouge de vermillhn. L’iris paraît avait4 été’doffK
La longueur dé notre ih dividfo ést de p r è s d e h u it p o u c e s .'**:
Ce béryx a l’estomac en-forme de sac cylindrique charnu, terniîné
en cul-de-sac obtus, et de rSoitié de la lorigiiéur de l’abdom'éfn. La
branché q ui Va au pylore so rt près du cardia j et est aussi tlès-
charnue. Lés appendices pyloriquès sont longues, grêles et n om breuses.
Il y en a au moins vingt'; mats tellement fixées dans fine
membrane chargée de graisse, qu’il n ’est pas facile de les compter.