naît pas paîMtÉiïîeiit Êdita|)të 'l'Sydns ( il lui ‘donne
D.6—-^6 ; Â.i27,et 30 danssk d'èuxiètde édition) ; qu’il lui
attribue aies tâchés en^aiîneaux qui appartiennent à la suivante
, et quil âit cpu la retron^^dans le. tjrttchiniis lineatus
de Bloch, qui n’est que la vive commune. Nous jugeons
de sa synonymie par unedessim qu’il nous a communiqué.
Il nous apprend quelle a quelquefois dix-bïïfit pouces
de longueur, et pèse alors quatre livres; que sa chair a plus
de goût et: une Save tir plus èiqtiisë cjuè5 celle de la vive
commune ; qu elle ïe tient davantage dans la profondeur ,
et passe pour moii^ maifaisante.
M. Savtgny a rapporté;cette^vf fie Biberon
de Paler-me, etrüVL Delalande .de,; Marsedle.
ï j à V i v e a. t 'é t é r a V O n ï IK é . !
((T ra ch ïn u s r a d ia tu s , nob.,).
Notre,troisième espèce deVive na pas >qiuj$)]’f Ætff |ggjpe-
ment distinguée par les autours : nous soupçonnons seulement
que Braimich e t M. Risse ont mêlé aa description â;
celte d e la précédente ; mais ‘c’est elle que lyavoéfeè a déoâte
à Iviça sous le nom de tradhiriw f à t i e ü l u s empruntait
mal à propos de Bloch.1
Il nous paraît que c’est aussi Xaraneus 'aller d’Aldrovande ;
toaiS Sà figure est très-mauvaise.*
Nous Favons eue d e Nice et de Naplés par M. ^ayiéjay,
et de Messine par M. Biberon.
Elle est fort aisée à caractériser, car elle n ’a jamais que vingt-quatre
1. Annales du Muséum, t. XIII, p. 331 ét’%2 .—-S.Âldrov., Bise., p. 2$8.
ou vingtscjnq rirons,, à, sa, sçeçnfï^ttqrsale, et vjpgt-sixià l’anale : sa
prerpièr^dqrsaie.çpig comme,dans l,a(v,rve commune; elle est
ip c o fe plusicqurte à p ro p o rtio n qiie les autres : sa hauteur n ’est pas
àmq fpis,aanji sa longueur. Lés d é u ip q p ité sc îè son sous-orbitaire,
qui croisent sur la racine d um a x illa ire , sont p lus saillantes que
dans àds! déiMpï%nièpes i>B^ÿ¥mii erfiofé et l'anneau des sous-or-
biftaijres. qui? entouremdOrMte, sé fbtit surtout; remarquer pa r dès
lignes «foi pointe: âpnesi, disposées.-. èm «ayons,antoujç de certains
qpnjutq h.#Ùc9B®d§ h g d e ^ : sgtête^.d’ailleurs,
ç ç ^m b je . p o u 1? ^ forme, de l’espçce commune, et elle
A le s v e ittIg^ssi aussi rapprq©Ùé§.;, sf » §ÇS.uagqo ÙÇ?,
sqiït. l^s mêmes, quq dans les autres espèces^mais il y a sous la pecto
r a le u n p e u t rep li' de la pèaii qui sg porte cil arrière, en forme
ndé p om fe lîp u ité , plkte et flexiB le /dontle s précédentes n’o nt qu’u n
j^ e i^ è ^ a b c b iîp É M é f e sênàiMë.
1 < 1 — 4 ^ C .d {3; 16;X 1/S.
- „ iSa^çouteUiSest Un gris-brun roussâtre ; sur la tête sont des points
Bïünsimbîns serrés qu'edânsfle tràchinusarânaisTJjè s Individus d’âge
m p y lû ^ ^ td é d o à e t le fe u tid u fla n e jrdimeaat dessinés par de grands
MUMUx*4}runS ou noirs,''irrégulierS, entre lesquels sont des tâches
pleines, plus pètitès^ces auneaux sont à peu près disposés e n tro is
sçdçSf (in en conque h u it ou n eu f le lo n g de la ligue latérale} o ù
ils sont le plus, grands ,"u n e quinzaine le long d u d o s , e t cinq
ou si«- le-long du flâne; mais il y afyà-cet égard, comme p o u r le
^nqmhx;e d è s^jph^^ vhèiUpoup de v a rié e s, et daqs les vieux individus,
fe.tp u t sp confond et devient quageux.
Im La première dorsale est, comme dans.les autres, noire, avec du
blanc à son arrière; la secondé est B lanche, avec d u jaune a sa Base,
ê t trbîs sériés longitudinales de taches Brunes, ou n,qires : lg caudale
^^aùssi dès taches brunes et le b o rd noirâtçq JÇe^ y p r e t
s'ont grises ou roussâtres.
Les viscères de la vive radiee ^ s em b l e n t à ceux de la vive
c om m u n e ; lesi cæcums sont en mêmje nombre, mais plus petits,
et, tous égaux entre eux. La rate est aussi beaucoup plus petite.