1ÏVRE TROISIÈME. PÆReOÏDïrS»
ment à auepne vertèbre, et se rapprochent par leur sommeu.Dans
le reste du squelette, il y a généralement un interépineux et un rayon
p o u r cnaqüe apophyse épineuse; lés eôtes so n t grêlesret’fourchues
mais n ’entourent pas to u C ï^ d o in e n .
Il est bofr de remarquer que les belles teîntes bleues
et jaunes de la vive dis^raissentasse&.ptomptement après
la mort, et c’est ce qui explique comment elles orut échappé
à'plusieurs auteurs r et nommément au peintre*' employé
par Àscanius.
Ge poisson atteint communément la longueur d’un pied,
efc il nest pas rare d’en voije^e quinze pouces*
L’espèce de -la viv§ t«qmm,une<*est répandue dans nos
deux iqers : Salvieu, Rondelet, Risso, l’ont décrite, dans
la Mediterranée ; M. ,de Mgyrtens l’a vue à Venise Ay M; de
Laroche nous l’a apportée d’Iviça2, M. Sa vigny^de Naples
®oqs lavons recueillie à Marseille “e t à Gênés Mlfflelfest
abondante dans la Manche,"et on la trouve fréquemment
sur les marchés de Paris. On la compte parmi les poîsftms
de 1 An g l e t e r r e d e ! Allemagne du Danenyaryk r de là
Suède \ .mais elle parait plus rare-dan.s ées.irbis contrées..
SphgelTefeld4 dit qu’en Holstein on ne la .règejf; qiip. de l’île*
d HelgolamL A^êâhius?: assurp qu’à Gop|ph3gue|elle ne set
vend que quelquefois en;été ,,sôus le nom de tvppe- ou
p u c è p è i ne se sert que sur les plus grâhdes1, tablés ? c’est
des^côtes de Jutlande qu’on-ly apporte: ' Cet auteur
'croit "point qu’elle dépasse le Categap Linnæps;et Retybis\
nen placent .en Su^de que dans la mer .0ccideutal.e ,’ ^;^t-
1. Voyage, t. II, p. &Q. _ %&nnàl. Mus., t. XIII, p; 3 3 ^— 3. Fenjnant, Brit.
zool.j X. m , ^ îi--—
-6, Dans les trois éditionsJÉfi Eauna suecica.
audite aussi dans-dëiG'àtégat. FiSchér, dans son Histoire ha*
turelle d e la Livonie, ne' la cite' p o in tp,pafmi fos--|foissOns
tte fcetpayik ètSe’est'à peine» si pS®|peut en èroue Geprgii,
lorsque' dans son Histoire liaturelle, de, Russie 1 il avance
qu’il quoique'rarenxeîrt, dans’ la'mer Baltique. Du
moins Bloch et Linnæus, qu’il cite à l’appui de son opinion s
ne jj dièent-ils f"ïe#^<fe?/ète *qti’il leur' fa it dire. A plus forte
isâisôn n’ümeël-iï pas' q^ltà^Wd&os'd&'Fauoe du Groënlandi
H Le trachin us-lin eatus donné par BlothédaüS s&^Sywkema
(p l. préps®font»fotre vive' ■hbmbatin c^,ët eu à lés
nombres e t tous le autre s caractères.; ilJatefs’y^esl -trô-mpé
que par ce. qui! avait dâms'son giarid ouvrage (’pL'lfo), ainsi
que nous le diroM®plUS»‘bas, doUné^une figure gr^s^ieMe
la» petite viyëppour là ‘vï-Vé 1 Commune. »
C’est tUs^bcettè^' vi-vë CommuneVqüédPeh®ant représente
et {dé't®t^Mils la<^pbnde '’edfition ^S?^a Voofo||pf3brifon-
nique ’sbüs fe Æmjà^grande iJipè fol. 29pmlÇ^jC’slçfigure
ne peut laiisfef aucun d-Oute , ut il cst«^alen^^|f.cefAaih
qui®’"est‘potT<#petite vive 'qu’il!¥èp^é^mï|é^âèti fort exacte-
mént: (pl. 28, nAya:),'“so€s le nom dé vive^ommtin’ê.r*<
■0 ri utapereoit pas m a plus en ^Ûpi foitacb'arailla blanc
des Basq^s/^îté par Duhamel2, différerait de la vï%6 ôOUi^
muiié‘, •à’1 moins’'quë bè^ÏÏë,0iPOTt là;' vi^è'^àraighée^ mlià;
comment slruécide'nfur’ des indications’ aùssi inGompl^es
q u e ’'Celles *’dmlfêt ëeriyàui, quand ^de*'4$|>nnes figuté^ne
les accompagnent pas.
C'est àurmote dh Juin que- lh Vxyê*s ap’ptoèhe en plus
grand nombre’ dés ri^ges p%ur déposer sésuetlfs.’ On en
prend alors ’beaucoup dans" des filets et dans'
1. T. 1H, 7.' cah., p/1911. — 3. Pêches,~a.' part., seet. 6;, p.taS).