échaiicrée plus fen arrière que le
dernier de la second^ dorsale,1 etÉtëÉj&f e «totre lui1 et la*caudale
est dé moitié'plus eouét qde celui’ qut-'y répond dû côté1'du dos ,
et qui n’est que le douzième ae lâ longueurs-totale. La qaddale en
est le Septième , s on bord poStérieUr'est â pan e "arqué, t a pects^pale
est assez large sa longueur'1 eSf ausénle septième’de-cèle du éorps:
sa moitié sùpéiieuré, soutenue d’un >râyon âmple et dsvhuihbran-
chus, est.tr onquée carrément ; l’inférieure est’soutenue par six rayons
plus gros* diminuant parrfegrés de longueur, et.quhn’ont qdevers.
les pointes un vestige de division. Les ventrales sortent plus: avant
que les pectorales, entre la-base; de ^ p jp S P et/te»kïusT.opercules.
Fort rapprochées l’une de l ’autre, leu r pointe va à peine ausriMoin en
arrière que le dernier et le plus petit des rayopspectoraux j-elles sont
assez charnues, et soutenues d’une petite épinl earde cinq Payons
mous. B 6 _ D g ^ _ 3o; A. 1 — 31 £Ç. 13 au 15; P. 1-5;,y .-4/5,^,
Les écailles sont disposées très-régulièrement stirdes dignes qui
se portent obliquement en bas et en arrière, et dont on compte
quatre-vingts de fou ie à la caudale* Unè^d« Ces bandfesVbJiques,
prisé entre les deux dorsales, comprend près de cinquante"écailles ;
chaque é c r ile est rhomboïde; à.îmgles arrondis, minee,' lisseï, e£
paraît, seulement à la loupe, pointillée en lignes çohcenttâques. La
ligne-latérale est formée d’une suite d’é^nïlfes *s Ovales ," traf&fcsees
chacune, dans leur longueur, d’un tube simple, et marche eh ligne
droite au quart supérieur de la'hauteur du ; cOrps? ‘S ifà v ée 'p i^
de la caudale, elle se courbe un peu vers le bas p it . se ’perd rentre
les racines du SeptièméVt du huitième ràyoh,dé cette nageoire.
LéS couleurs de la vive sont assez bellesq'îe-fônd >en è ^ u n gris
TOoeÂtré , plus brun vers le dôS, plus „pâle Vers le ventre ;S~des
taches nuageuses noirâtres y sont semées et y forment une marbrafe
dirigée;-en général, dans le;sens des lignés d’écaillesi Quelquefois
elles se réduisent à des raies étroites , et quelquefois aussi elles
s’unissent de manière à teindre to u t, le dos en brun. La tête e n d ç s -
sus est tantôt b ru n e , tantôt gris rpussàtre, piquetée de points bruns.
E n général, les vieilles vives o nt plus de brun. Des traits irréguliers,
d ’un bleu .d’azur, v a r i â t le dessous de l’oe il, la tem p e , le h au t de
l ’operqule et de l’épaule , et ,des taches de la même couleur sont
semées dans le b ru n du dos : les côtés*et le' ventre o nt au contraire
deS-teintes, e t des ta è h ç s jo n q u iH ^ i disposées aussi dans le sens
d^-lignes 'd écaillés ,Ve est-à-dïré, descendant obliquement en arrière.
Une grande tache noire occupe sjür la première dorsale l’intervalle
dp la première h-la* quatrième épine a h reste est blanc. La seconde
id©r$alë--est.-blanchej.une.large bande jonquille en parcourt toute
la longueur., etiJLyta unp.teehe bleue derrière le sommet de chaque
rayon. L’anale est blanchâtre* avec une bande jonquille sur sa lo n -
euenr , au milig.u^ h a u te u r, comme à ^ dorsale '{ses rayons
sont gris roussâtre."La caudale est b lanchâtre, a rayons b ru n s, a
bord 'n o irâ trè ^ et toute sérikéè de taches jonquille.
La ëavité- abdominale dé la' vive a p eu d’étendue eh longueur, et
l ’anus est fort àa- avsmt Aussi ses intestins sont roûlés eh, ^ ih a lè
s u r : eux-mêm&s. g y
Le jÇrie est.tèès-gros;,. et-le lobe gauehe, qui le compose presque
en entier,, occupe to u t l’hypoeondre gauche. Le lobe d ro it est p e tit,
e t donne attache à Ia^ésiouje d u fiel, qui est oblongue, peu large,
et remplie d’une bile d’u n jaupe-brun très-foncé.
' Uèstomàc n’a pas une capacité très-grande j il est alongê, ar-
r'Ôndi en arrière j ses parois sont épaisses et fortement ridées à
l ’intérieur: Le pylore est&ntouré’de six' appendices coecales longues
e t assez**g^oss.es. Celle qui est la première à droite est beaucoup
plus lohgue que autres. L’intestin est assez gros vers le duodé*-
^num; il sè, rétrécit beaucoup ensuite.
La rate .estÆrosse et cachée dans, les replis o u p lu tô t dans les
enr.ouJem.enS d e l’intestin. ,
Il n’y a pas "de vessie aérienne. Les reins sont gros, et aboutissènt
dans une vessiè"urinaire assèz lo n g u e , mais très-peu large.
Le cerveau de la vive diffère peu de celui dé la perbhe*
Le squelette de ce poisson a quarante vertèbres, d o n t dix seulement
appartiennent à l’abdomen e t .trente à la queue ; mais la
nageoire anale.se p o rte sous l’abdomen, et ses sept premiers rayons
y sont suspendus à des interépiheux q u i n ’appartiennent propre