marquable du Brésil.,On ne voit pas qu elle ait été décrite
par les voyageurs précédais ; mais peut-être se trouve-
t-elle confondue p^rmi leurs labres. M. Valenciennes en
a vu aussi un t e l individu dans le Musée de Berlin.
DESPERCSMPHIS,
Et- du :P er'gophis du Brésil.
T^làPercophis, brasilianus, n o b .)
IÇ’e s t^ i l’une des plus belles,décp^ertqs des natura-
lis%s de l’expédition de M* Frey cpjye U (MM. Quoy et
Gaymard). Ilslont trouvé c.#,poisson à Rio-Janéiro;,* où il
d?@ils tëtfte rare, car Margràye n’en parle-pointy et ni M. De-
la lan d e:^ M. Auguste‘ Saint-Hilaire ne l’ont rapporté
de leurs voyàgfêAlu Brésil. Cependant il y en a aussi un
iîfâividu au, MpiëePdb Bering Wvoyé, par M. dOlfers.
La|, 'leunion singulière' ,qùil offre des .caractères. des
perches aveG la forme des sérpens, nous a déterminés a
lui donner ce, nom com p té de perçophis, que MM. Quoy
et ^G^mardiiluij ont ’ponsery^ gfest le percnphisfabre, du
Voyage ^'M-'Fieycinet (z®ol., p-3&W-, pl. 53, fig, 1 et à).
Parmi lesrpfeLssons;- c’est aux spbyrènês qu’il parait au
prêlsier^dùp'd’oeîbféssemblfer le plus par’sèn corps alongé,
fff'féte pointiïé, ^m â ch b irè mMiÆé^rè 'ùroéminente et;ses
âents* cfoptmesj mais la positionJugulaire denses ventrales,
e | la longueur cfe&a ctorsalè anale, ne permettent,
pas dq conservej.lopgTtemps cette idée.. C’est évidemment'un
genre différent de tous ceux qui avaient été.éta-
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