LIVR E T R O IS IÈM E . PER CO ÏD E S .
tile. Outre les petites detws qui les garnissent, en a,
chaque naâchoùe, de plus forces ,, ra s sem ^ ^ ^B .tq n a tM i gMaioiies,
ou comme Sur quatre vefrues, e.t se m o n tran t rau dÆorS j -Ujâis lè
.palais est L a langue est triangulaire, large , oQuçte, rouge. en
dessus. Les narines ouvrent lç u rs d eu x trQuSTOut p r è s -d u ^ rd { anterieur
de loe il. Lesv- yeux ■sont d’une grandeur disproportionnée,
ro n d s , cQnvexes èt d’un ppuce^'de Hiâmètre. La pupille exi ^est
argentée ê t teÈttté d ’ificaThat. La membrahé dès ^rattfêftîës-
raycms \ S u r 3’ouvértùre :des^huË%‘^ sontMieux -Itihâ^ ÀéhfiÉësï eh1
^rètei ‘La ligne latérale, fermée pa r «le petits traits-, l i s ^ ê t s i t e d u
d o s , ou suit sa courbure e t jsé. continue jusepi’à- la «caudale. )Les
épines d e la première dorsale sont fortes e t se /sachent eUtre» les
écailles du dps. La caudale, profondément fourclwAr^st.a,ç£qmp^-
^née, o u tre s ^ d ix -n e u f grands rayons, de ,petits,rayons conatéraux
(le s petites epines). "
.D. ,9 » 1/Î4 jC BJ1S .
r Oh pêche ce poisson autour de lJTâe-de-Franc^^surtout
en Octobre et Novéinbïe. '
On 'trouve de plus dans les deSsrns xie ComMef^n'.uni^
figure faite au crayon' r c ^ f f mais sans ’aucun n o m ^ l é
M. de Lacepède na pas fait graver, et qui ne, laisse'point
dé doute sfur le g e n r e auquel oh doit la rapportèt^Elle
montre quatorze rayons mous à la dorsale, et dcfûze' Ë
l’anale.
Il nous jeste les deux mÿriprîstis 3ë Russe! :Rbn botche
(P1- to5) , long de neuf à dix pouce^ çt son suttaneroo*-
kuntheê (pL 109), long seulement de sept poncés.
1. Il n a pas compte l’inférieur, k cause de sa petitesse.
^ ,® oublie de donner le nombre dés rayons épineux; mais sa figure en
marque dix.
S. Il a’â pas compté k petite épine antérieure.
,.tÆ#s deux figures montrent, quatorze rayons mous à la
dorsaltefeOfeonze à fan ale , enj sorte- que ce ne peut être que
.par unes€aaxte "»d’impression que dans le texte l’on n’en
donhëpque rsir a l’anale du botche. |
. ,(2ë- texte ne les différencie d’ailleurs que parce que l’une
aurait quatre e t l’autre „cinq petites épines à la base des
borefs. supérieur et inferieur dé la‘,caudale; ce qui doit être
un caraj^reiaussi douteux que difficile.à saisir»
Le$j$æ' grand?^ou Le botche, a la tête-ronge, le bord
membrÆrteux de l’opercule d’un noir de sang caillé, le
corps“e ï là poitrine d’un rouge; tirant sur le jaune, mêlé
de blane|jWs écailles blâhchàtrés^ bordées de rouge ; les
nàflpirés ve^icuès.'roug'és, les-autres d’un jaune pale. _
Æe.jdus petit, ou le suUaneroo-kunthee, a la tête et le
dds d’un rongé fonce; les flancs*.rayés de rouge, de blanc
« d e bliilêurjdé perle, et les nageoires d’un gri§ clair, taché
d e$ro^ug‘èt‘T Èà figuré’ né lui donnant point de grosses dents
en avant cfés mâchoires/ Êomme en a celle du botche, et
^ês1 Nombres: de^fayôns Raccordant avec ceux dé notre
mÿriprîstis parvidens, il ne. serait pas impossible qu’il
^ jp r tîk r 4 nette espèce.
(Quant axÊsbotche, il ne correspond exactement a aucun
de ceûx que' 4ou& possédons ; et si sa figure, est exacte,
elle' pourrait bien indiquer une .espèce de plus 1 et nous
l’inscrirons dans notre liste en lui conservant, SOU nom
indien. Nous rappellerons donc myripristis botche.