son anale et la moitié postérieure de son. corps âemees de petites
gouttes rondes et blanchâtres, âsSêz^séîTéés"':{%h' ayant elles se
rapetissent et se perdent dans la teinte du»^ondj||nïâis sur la BêTsklé’
,et sur l’anale elles se marquent mieux, que sur hH B p H parce
qrue^ la teinte de læs nageoîf|gjest pius’ -'M ^ Î Uh^S^^É'ande
verticale pâle occupe toute la MÉîteùr du cbppsVdè^ùis^lâ troisième
épine dela dorsale jusqu’à l’anus ■ un dé nos individus èïVa thème
une autre sur l’opercule, et une troisième-, (m>ais pîeu marquée**
sûr le tiers postérieur du cdrps. Les pectorales et-la caudale!'sont
d’yn vert noirâtre, ; surtout le bord p p ^ î S l d e Ja,iauda% Jes
ventrales sont d’un beau jaune ;~ il y a du blanchâtre à la gorge
et au ventre. , • r
Dans la liqueur le fond de la couleur est cfevenu brunlfo’riteé'.
L’indivltlti de Broussonnet, qui parait ê j^ c e lu f - là
uiênte sur lequel le^cLessin a fifit t .est lopg^ de^s-efnt
poucesj il venait des îles des Amis : :ceu|x de fisIë-Jj?
France en ont plus de neuf.
. Z/ÀCANTHURE ZEBRE.
(Joanthurus <triostegus,Jà\4 Schn. ^Gkoetodon triosïeçm,
Brousson.)
Un des acanthures les plus répandus dans la mer. des
Indes et dans 1 océan Pacifique, est celui que b/i.nwë avait
nommé choetodon triostegus, èt que L ic ê p tM a
appelé acanthure zebre*; .ceSPle harpurus fasciatiés^de
Forster. On en voit dejaf fine figure dans Seba (t. III,
pl. 2$yfig. 4); mais Broussonnet^ en a donné une meilleure,
accompagnée d’un,e description détaillée jusqu’à la m inutie,
faite d’après les individus d’Otaïti, rapportés par Jsi Joseph
Banks. Le Cabinet du Roi en possède maintenant un
l.Lacép., t. IV, p. S4&. — 2.Blochy_Sjst. ,p.2i5. — 3.'PécàdeichthjroI.y n.° 4.
grand nombre de ' -^fd&-France^! des Séchelles, des
Maiiâniïk*, de lFà pfJl0 ell'e‘-5Lélan dej'd'ë l’ile d’Oualan, des
îles déda^Mdë te Mi t dle dellèst^ -Sfanclwi ch. '
^ ® ’épilvl)*èlM(^î friô 'sieg u s^ e ^o i t 'point tromper sur le
nomfi^^dgi^s. branchiaux il f : Ç.n a cinq dans
ceLacrnthu^eS;qrnpie dap^ ^ s - j ^ ^ t p e s ; mais,les deux
derniers-.SQ.qt^petitS»if e^atch^dians des., gjhairs|de l’isthme
brànehiah. ; ,
lia''hau^Bit^-'-de l f evâ. 4sot? COTps^la (jbeii'cn’orï comprise,
A u h peu plus> (Te n*?oîl&' d^Sa^l © ? r ê 3 e u i p r e n a n t la queue,
la.loûgueur e^âe^dMix^OTsicf^mib^la hâtjleurf^iï^rôfll descend
©bBlpiement|^^^^^ivis- «^npstfï^bne1 (jfw'M.xité, puis* sa
dSuf^eidtevient un 1a,e" ent t! gané’et.Ia^BUSBe, qui
est Wèi’emeta i |8G%yi®|4j^|ÿ jtrèsrpetites1 et fine-
' meür pliées ; il^Beir ^ ;s^ ^ ^ fe* la ^ ëie^m m eî lp ^ e^ b p ïèrculesÿ
maïsToes tqmbtèhC Si s^u^ht^^TOssfBt^voîr1 les stries de
cet ô^, afiÿr^Fe^çëlies’ aè^ rhünjfé'r'al. iftsT dents \ aù'hombre de
*’* sei'z&’Ou d fx -fiw .|f cha’que W^cûli^^bhrchâctièé cinq' cVenelur.es
‘'ârssÉ prdfdndel* L a ^ rM ^ M ^ S lp ’Jint H u^hîftftéur'â p(eu près
Içw^ïSrolnftment :*«r|«râ peine
si,son bor,d-tëranin^l est un» peufe6a^©àÿÈe^Les ye$.trples^ sortent sous
le roilieui de^n^ctOTal^^^^qjjg^sfint,v elles, sqm pointues et leur
. é pine est lojtML’émme latérale,(le ^queue^ l^ p etite et très-mobile,
fi. 5 ; , D. $ „ 1 4 ; v . 1/5:
La teinte .générale Agicer poisson, dans la, liqueur, est. un gris-
brun tirant ,surJ&,roux, qui.se change.par degrés en blanchâtre
vers la partie inférieure; mais daris^le,’frais le fond .est d’un vert
olivâtre plusf ou mbmV clair. ^Cinq liâne^noires’;, peu larges, descendent
du dpsrverà la partie inférieure à .des distances presque
1 égalés, *l’uné'u’elles va'de la niîqüû à l’oeil erde l’oeil à travers la
joue Vers l’angle du préopèrculi; elle se dirige’un1 peu en avant;
la seconde, qui-marflqué quel^ùefbls-’ en tout ou en partie, part de
la base antérieure de la dorsalb et se perd dans l’aisselle de la 10. S