1 G’cst M. Geoffroy Saint-IIilaire qui a fait connaître cette
partie de leur organisation dans son mémoire sur l'épaule
des poissons et dans sa Philosophie anatomique, tome I,
P* 471 et P1' %
Toutes les espèces connues-de ce genre viennent des
mer's orientales, et nous: devons' faire remarquer que l’on
ne,doit pas compter■’daJte.iêtirnombre, comme la fait
Bloch*, le perça ascensionis d’Osbedk; nous avons Vu
précédemment que c’est un holoeentrum.
.Z/Amphacanthe javanais.
(Amphacanthus favtis, nob.; teutkis fa iïïs', T .) *
Nous, décrirons d’abord sl’espèpe qui a paru la première
dans les( puvrages des méthodistes (le teuthis javus de
Linnæus). Elle est commune à Pondichéry qt se, retrouve
sur plusieurs autres points d é jà m |r des Indei?^
Elle a le corps aplatijoar les^çr^s?j;,.en ^ n’y . la
queue, sqn contour vertical est un bel ovale, s
Sa hauteur au milieu est* deux fois éb demie dans sa longueur
totale, et son épisse.ur quatre fois dans sa hauteur. La ligne’demi-
elliptique de son doStiésèend. obliquement au mUsélu^' ét, péenaiit
un peu de concavité, devient presque droite sur
gueur de sa tète est quatre fois et demie dans la longueur totale;
et sa hauteur à la nuque est encore un p u plus considérable.
L’oeil est tout entier au-dessus du milieu de la hauteur; son
diamètre est du tiers de la longueur de la têtçr et il est plus près
de l’ouïe que du museau,; entre les yeux, fe, front esf Un peu élargi
et légèrement concave, âièc deux arêtes peu marquéesj qui conr^v
gent en avant; le bord antérieur de l’orbite fait une petite saillie
crénelée dans quelques individus. L ’orifice antérieur de la narine
CH AP* I. AMPHAC^VHES. 8 7
entre près, à; égale distance; le
;>:piy^rièur*tentre^liri4 à ét|i’oeil>ïj®^Si;dèuX'sont petitslllte premier
n#k#ftftd,;et « o u # , d’un petit eei|elé membraneux, le second est
^ « ^ . ^ Jouche, #ès?pteu.fendue^ ne prend paei|§Éigg de klon-
* dU rauseau^ le max*haire mjfÉî'e, qui est assez élargi en arrière,
, îse - tèrmîner aù f r i f c de & m Ibngueur, 5 Les inlchoiré^essemble-
,raient à celles dey.«ares, si. lés dents .qui en garnissent le bôrd
n en étaient bien distinctes. Ces dents fcont petites,tterrées, et femænt
une rafigénuégulièré; chaqnnimâchofre mmtrmte ©»trente-deux;
celles de la supérieure,byuriqUa louperont échangées ou fourchues^
hqutjsçell^akfi’rô^ une pointe plusgrande en
,(avant; et une plùs petite. sur leû riia se fin arrière >: l’intérieur de
la. bouché n’en, a aucune. Le^oüeode la mâchoire;,supérieure y
# t épais;, papilleux e t,lCe qui est -singulier, dirigé' eu. avant et
apphqpé,contre le d,#Émt.du palais; celui de la mâchoire inférieure
m §rand» tiiais .commet l’ordinaire membraneux et mince. Les
-sous*orbitaires.neise marquent,peâtaau dÆQBsÿ;rim.:hféstipa* le
peut sillomqaae-sômhord inférieur offreau maVilaire. Le préopercule
jjestïô<|upiià;angle,droit,-etses deux bbrdsÀont rectihgnesitTégaux.
Sqndimbe; assez large dans le bas, a Quelques lignés irrégulièrement1
î saiHaptés Vers son angle jiquiiést un peu arrondi. L’ensemble oper-
cùlaire; placé derrière lui, est trois’'fois plus 'hàuiique long. Ou
aperçhift sur l’apercule quelques stries triès-légènes, qui descendent
en rayonnant.'-
soT ^ i ^ ° f f 3 F%itérieur de l’oeil,
sa-membrane,s’unit la au-coté1 de l’istfimé, qui est assez large; elle
contient cinq 'rayons pddfitTè dernier oii l'inférieur est\rès4largi
à Sa hase'.'L’% ’ huméral a quelques stries‘aiMéjsusde la pectorale-
celle-ci est au tiers inférieur de la hauteur, de forme demi-oyaje’
d un peu plus^ufcsixième de la longueur totale; on y compte dix-
sept rayoïis le premierest^sihiplfe et moitié moindre que1 le second;
aüi ëât le plus-long; le dernier fest très-petit. L’aisselle n’a rien de
lftirticulieV>L%s‘5 veritfàleè* naissent iÿfis-fe iiëfè postérieur dès yrec-
toralfr* ’. et portent aussi loin qu’elles; leurs rayons externe et
ihtethè’sbàt deux fortes épifies, entre lesquelles Sont les trois autres.