de la nageoire;: les deux ventrales sont'attafchéésT. à un bassin
rectangulaire, - dont les deux bords $e marquent âu la
peau comme deux arêtes saillantes. .
La tête et les, nageoires) sont dépourvues,: d’écailles,-et-;celles du
. corps sont si. petites et si minces qu’on.ne les* distbague guère.sans
un peu de^desséchement. A une forte lpupfe'L,ëUes^:paraisseftt transversalement
Ovales-,•‘-entières, et irrégulièrement mais très-finement
.«trié??; la .ligne-latérale est moins arquée^qj^él le;dos.\çt s’eto rapproche
par degrés en arrière. Elle'se marque par une suite d’élevures
longitudinales, qui * s’élargissent surlesyçôjg&lde la queue-,et y deviennent
ovales i-et relevées - dans le milieu , d’mng., légère)“ saillie
longitudinale.
• L’anatomie de ce'poisson^nous montre (?queqs,pnf intestin est
long et replié plusieurs fois sur luûmêmè. Je ne voisp^ue. deux
. • cæcums,au pylore,,ou peut-être y en a-t-il un troisième? L’estomac
est un siçaple sac conique,Jaspes flo&g^ La masse des ovaires
est rejetée vers le„fond^djgj'ljabdonien ,.;e,t ne forpa^jp^us 磧 longs
rubans qui, dans leur temps-de: vacuité, se mbntçegt o.rdinair.emPnt
au-dessus des viscères <j|cda ^iges-ti-p^Q. Il y a. une vessie, aæpieiïne,
enveloppée dans un fort^epli du péritojpejt^^gillapaÈ.^; ^jgjgftté;
cette vessie donne en,arrière deuxpetitesfourches ou cornes. Les
alimens contenus dans hestomac se composaient de débris.de ,très-
| pptitscmstacés, jj
M. Lëschènault, qui a dbïëïvé ce poisson frais , d it que
sa c o u le u ra rg en téÔ ê t‘ qu’une dizaine d^ lignes.'rousses
s’étendent . depuis, lé 'ddS j jusqu au " mdieu de la hauteur,
M. Dussumier a vu le dos,-gris-vèrdâtre, ayec^.desjaandes
verticales ;plus foncées.; .-peslignes ou cesbandesls’affaiblis-
sent ou* disparaissent'par la- .dessiccation,, -'.niais nous en
retrouvions encore des'; tracés*.d'ans nos; individu^; l’enluminure
de Bloch répond ’ass?:z bien à^cêtte description,
Mi Lëschènault4 ajoute qu’il jÿa'ryient à peu "pr'ëV à un
pied de longueur; qu’on en prend dans la rade de Pondi
chérie dans toùtesiilea. saisons, mais rarement; que :;sa
eh ai r - 'estud éli cat e et j que ' l’on en donne volontiers aux
m a la d e s ? /* '* |É fp ! w#,nl V ** \ !j '
M. Dussumie^ qui nous éh 'a' rapporté de l’Isle-de-
FtÉacè, 'nous^à^Bend qu’il s y nomme sap-sap, cjue cest
un bon p o iso n> qui n’y .paraît qu’à certaines ^époques et
en petit n o m b S i t qu’il p ^ e quelquefois une livre et
demie.
BIq©it&dit , ausfi,^^ d’-uprèS J °h n | que ;sa chair est grasse et
de boug.(ïû.t^et fournit aux Portugais des* environs’de Tran-
quebar un b «m mets? pour les|©.urs maigres. Sur cétte côte
on en prend^aùssd d ^ s ^ ô fc è â les saisons, /mais surtout et
àbdhdamment en Décembre. Il nè remonte que rarement
les rivièltës*”,
r 'U Ë(JbjfLA POULAlïjr ^
{Equulà càbaÙa, nobi-,\l§bâTftbe\'eqütila; Forsk.; Tottah-karah,
' Russel, 1. L X 1I.)
La mer\ I|siç Irx^s^et la mer Rouge produisent une
esneqef,V0isine.4e la précédente’, qui nous semble répondre
mieux quafucunè'autre à1 la-description que Forskal donne
de soty&cômber equulàjj qüoique'cette description s’attache
trop exclusivement à ‘des. caractèfes génériques, pour pouvoir
être àppliquéê-à une espèce sans incertitude.
1“. FoTsk.r,~i?«j,cr. anon., p:'58
SCQMBfiR EQÜÜLA, pinnulis pinnaque dorsi connatis.
DjESCA. „Corptfc ovatum xompmssqm,, quinquepoll. langu,m r tribus poll, latum,
mgfttteo-nitens, kerex squamis sub. tilissmus.\ Dentes setacei; labium superbus protractile
infirius curvum, retusum^Frons carinis ossets duabus, elatis antrorsum conver-
gentibus. Fertex, carinis tribus mier oculos, media aibtusa et mopilb simul cum labio,
inter caput et P . D . formantibus callum. lanceolatum. Opercula M. Br. adnata,