inférieurement comme dans le loliah, et ses ; épines dorsales et
anales-sont presque aussi fortes quejcelies;de WnÉîferai '
D. 8/46-î AjtR/14, efc.'i
Sa couleur est, Comme dans là plupart des autres, argentée, teinte
de gris où plombée sur le-dol'j- une' bande 1 ongi tudinâlé^’d’un
argenté plus vif, sépare les deux: teintés. ^
Les individus sont longs de trois et d e quatre^j>Oiiq,esV
Il y.R desequula duiié forme j)lus oblongujc que lesÆ-
pètes dont nous avons parle jusqu’ici j l’equula de Bloch
excepté!. ,
Z / E q OJULA OH EK CHEUR .i :
{Eqvula berbîs3 nob.', Seomber equu&a jW°&r. Fôrsk!) :
Forshal parle d’une variété de* son scômber equiàa,
nomméefa Djidda melliet et àjjohaja berbisî
qui a le coïps -alongé ou de formedancéolée, à-peine .long dhin
doigt, les lobés de la queue aigus; la ligne latéral e> finissant! slus
la dôrsale, et'dOnt toutes les nageoires ssOntfiordéés -,de jaune.
Il lui donne pour nombres :
B. 4;%'h/l(G$£ ^ 1 5 -’G. 16; P. 16; Y .^ U s
Cette description suffit pour pmuver qu’il ne^sf|git point
là d’une variété.
Z /E q u u l a a l o n g é .
jjQEqimla nob.)
Nous avons un p d ^ b n genvéi ap p o rté de Timor
par MM. Quoy éfî Gaimard, qui répond! pour la formé à
celui de Forskal, et que nous sérions tentés dè regarder
comme de la même espèceÿ^’itri’ayaitl des taches dont lé
naturaliste danois ne parie pas.
Sa hauteur}. eAl-^rois fois .et demie dans sa longueur totale; sa
tète%la bouche fermée)^ Mst quatre fois, La. courbe de son front
et çeÛV’me sa nuque $è jfçpqt^uent uniformément avec celle du
dos ..et sans, faire l’iS, comme dans la plupart des précédens. Le
P sfe^e^d nay^iie^ipdo'rsaré' tSbde ' foVcetoiédioérê ^ et sa hauteur ne
surpasse pas la moitié de celle clu horps ,sous lui; celui de
l’atiai^estun peu plus foetj, mais un pey. moins long. L
; D. ,8/t7;,A. S/l^etc.
Sa ligne latérséle 'stëffaceîstÿr les côtés.de la .queue'et il y manque
ces écâilles-uélalrgies des espèces 'précédentes. Tout le corps est
argenté^ ^légèrement teint de brunâtre oü de violâtre vers le. dos.
La'môitié supérieure de chaque^ èôt| est semée de taches rondes
Oitt ovales, inégales fet irréguhères^noirâtres; les nageoires paraissent
d’unvgiàs jaunâtre»
individu nest I o n iq u e de deux pouces et
defei Phis'?ffeémment, M. Befôn’gef nous en a apporte des
individus de meme taille, péchés sur la côte de Malabar.
1 Î X ’E q UULA BARIOLÉ;
' Equiila linealata.
Une,espèc||£o,rt semblable pour la forme, et pour la
ligne latefaîéfaeté prise_à Jaya'par MM. Quoy et Gaimard.,
et a 'Antjefô^ajis le détçôit de la Sonde, par M. Raynaud,
i S^-S' épin^y^ojsajes, sont bien plus grêles, et la deuxième plus
longue que dans l’espèce précédente; le rayon de celle-ci a plus de
«l'oiüéde la hauteur du.co.ips.'
Tbiit’sqii^cbfgs est'afgebféj teint de bleuâtre vers le dos; une
■ bande longitudinale d’un argenté brillant et pür sépare le bleu de
l’argèhté dû- ventre, et sur ce bleu sont beaucoup de petites lignes
jM taches vérticâles^d’un vert nhirâtre. Les nageoires sont blanches ;
; ;il yfa;du noir, dans l’aisselle de la pectorale.
• Nos individus sont longs de trois pouces.