de famille qui'ne permet pas, dansmotre manière de voilai,
de les placer dans un autre groupe, quoique quelques-uns'
des caractères" de pette nouvelle tgjbmse soient dljji présentés.'
XJn d’eux, celui dé la protractilité du museau,, â
déià été pris en considération dans la tribu dés ménidés
de la famille dés jSparoïdfcS. Mais totisdes liaturâlistes seront
d’accord siirxè point, ^(fiie cefté faculté d’aVabeét ainsi la
bouche en une sorte de long tube^faculté qui résulte d’une
organisation tout-àdait semblable des maxillaires et inter-
maxillaires^ des.Gerres et des Equula, ne peut pas cependant
faire’ éléigner dès ^éësces-uCTniërspoiison^ pour les
classer parmi les aparqïde&^Ues ^ées^-opt deux dorsales et
quelques autres caractères ostéologiqueSfvoisins «-certains
percoïdes; mais la nature dedenrs tégumens, les boucliers
dont les cotées ont armés, les rapprochent inëoùtestable-
ment des scomberoïdés àp<éètps' cuiraâsE-'Les Tiampris, qui
appartiennent également famille don^.-nç^ traitSû-s,
ont desivi^e|a%iSt'voisins de ceux du thoii en paMmèhér,
qu’il devient impossible de ne p asrékmrte
en une? nrêàtei tribu dès ècomfeéroâkiliestj«*
Elle est* comme la précédente, une .du«es familles,!.(naturelles
dont les rapports; 1©§C lient â^p! plusieurs;)antres
non moins ; naturelletpdt; qui dorment) tant de difficultés,
pour ne pas dire d’impossibilité^ dé former les sériés] cou»
tinues que tant-de natumlistssi fort éclairé^ ont vainèmènît
tenté .faire/ sans être! plus heureux que nous.
On peut la diviser e n 1 deux * sections : une,.qui comprendra
les espèces à dorsale profondément! iéchancrén nt
comme double, et une seconde^dont les; poigsons;font
la nageoire du de® continue,, sans échanwure et par conséquent
unique.
CHAPITRE XXI.
? Des Zées et des Capros.
Le genre desdZsécs n’est plus composé, , dans notre méthode,
que, ides espèces à deux dorsales bien distinctes,
dont rantérieure^ést formée de rayons épineux, accom-
pa’gné^îlde lambeaux longs et filiformes; dépassant de
beaucoup les épines,se ii la membrane qui les réunit. Les
côtés du.copps' ont une série de pointes fourchues, por-
itéess: sur dekhéenssons osseux insérés - dans la peau le long
.dedà?vhajse rde da vdofealeuet de l’anale. -
Le nombre des »espèces: des .auteurs que l’on peut faire
fëhtrérrdans lè'genreÆée ainsi caractérisér se trouve réduit
au seul àeus.fabêr. Linnæus, dans sa douzième édition,
n’y rapportait que les quatre suivantes. L’une appartient
à natre-igemre actuel1 et bftléstf l.e< typé, comme nfous
-venons d e f e dire ,’.3iautre est de la même kmilk «t forme
le genre C^pros^Nous avons déjà fait vototjüe les deux
premiers, le zeus vomer .et le zeus gallus, sont d’une
famille voisine, màisrde-genres différens. Gmelin porte le
nombre des espèüésf à huit, en y ajoutant le zeus insi-
diator, qui eist un Equula, lfe zeus eïliaris, dont nous
avons fait fikifeébire à l’article blepkqris; le zeus luna est
le genre lampris, dont nous parlerons bientôt, et le zeus
quadratus, établi daptès une figure de Sloane, est, comme
nous fevons démontré, le même que le chetodon fa b e r
de. Brousaonoet, ûotfé première espèce du genre ephippus
de la famille des squammipennes.
• M. de Lacépède avait commencé la réforme du genre