est évidemment d’un autre genre \ Il Venait de l’Océan;
Osbeck avait pris le sien près de' Me de JaVà. Il dit que
sa taille était dun empan.
Il nous parait que cfest notre àmphacànthe marbré, que
représentent à leur manière Valemtyn, fig.400^ et Renard,
i.re part., fig. 187. On ne douterait pas-'trop, à voir
ces gravures; niais leur original commun dans le‘*Rèèuéil
de Corneille de Vlaming ëét un peu meilleur et notts a
aidé à reconnaître ces grossières copies.
Vlaming l’appelle ongirat^ cpnüme Renard ; mais Valen-
tyn le nomme ikan-berombac ou le poisson ondé. IL assure
qu’il devient grand et qu’il est. gras et d’un excellent goût.
Z/Amphacanthe vermicülé.
( Amphacanthus vetmiculatus, nob.)
Une espèce voisine de ce marbré; mais beaucoup plus
haute, et dont les raies sont tortueuses'êt vermicul’ées
sur le ventre, aussi bien que sur le yesté, de sa hauteur,
a été apportée de la ‘NouvelIé: Guineë par MM- Qiiôÿ et
Gaimard, lôrs’ de leur second vbyagé',' et auparavant nous
en avions vu un dessin envoyé de Java au Mttëéè des-
Pays-Bas par MM. K u h le t Van-Hasselt,
Sa hauteur n’est que deux fois et un qüart Üàns la longueur, qui
contient celle de la tête quatre fois'et demie- sdn!êrànl! est lissé-
les stries de l’operqule et du limbe du préoperqtde sont peu mar-
..quées; ses épines sont fortes, surtout à l’analei ses riontbres sont
les mêmes.
D. 13/lO jJL 7/9, etc.
1. Linné, Syst. nat., ne cite que les lettres inanugcrites dç tcèfling; l’article
ne se trouve pas dans le Loefling imprimé-
Les lignes ôndiileuses, tortueuses, étroites, bleuâtres sur un
fonds hrun' éü và|@j|fet, commencent de la joue. Il y en a sur toute
la ihauteur du'tronc îetédo Ja'queuê; bien que celles de la partie
£3^n£érieure s’^enden^m^loâg^b'uv» elles forment des courbes plus
courtes’,'>plus?Tond^f qu&Vèrsdé|,dos| Æhy a sur cette région du
iSéïp's trois ou .quatre larges espaces nuâgeux, plus bruns que le
y este.1 La caudale, presque c#rée,seSj toptMseméeéle points bruns
y ur se&^ayd|ts%£ dans-dé,urs intervalles; il y en a aussi quelquefois
dâ partie molï^ue«M?âbr^J:ë jît Hle l’anale.'Lés pectorales sont
lf“i autrès iia"eciii:ps'^nt du Érun à leurs membranes.
L’iodiyidu de l‘â Guinîé&f est, long» de huit
pouevesîfîB|piif^€iBons- d’en |@c^oir. un. second, lonÉ, de
sept ppuees- et demi, de l’Isle^dë^France par M. J. Desjardins.
X ,Am?HA'CAN*T-HE a ÇrHAtKETTES.
( ^émphaQanmds' ‘conà/Mènamb / nob.)
Une e^p.ècq qui qp.elqxS^lsemblançe deÿqùïeur avec
les deux précéden^Sgeÿ qui tient lè milieu, entré elles pour
la formey a été rapportée, deBourou/Ikine des Molùques,
par MMidLfe&©& et Garnot/et de Batavia par M. Raynaud.
Sa hauteüî®tst deux^fôis" et d'eôiïe dans Sa* longueur, laquelle
comprend qualiy-fui^et' un’Wery’celle de la tête S son crâne est
• 'lissé;1 son c h a n f r e i nWtf e fé ^ ÿe ux;tc&Bé éhiuitepresque
- verticalement. Les sïmés dêl’ô^ërefiié et'du limbe du preopercüle
sont peu marquées/ mais il 'ÿvJeir â de fortes-à l’ôs huméral, qui
est' petit. Ses nombVes sont les mêmes’-qu'aux aùtres.
D. 13/10) L 7/9/ètc. ,
Sa couleur paraît d’un gris bleuâtre, qui se change en argenté
* au véhtre. Le'dd^èst^d^u^t'Hë taches rôndés “^ovales, bornes
d’un liséré brun,' et dont le milieu â une teinte jaunâtre;5 plus bas
.ces taches deviennent plus obïongues, et sur les flancs elles s’alon-
,gent dé manière à former dps espèces de chaînes ou de bandes