fc- Comparée à la preoâèfe espteÿ&eÏÏe?era le ^o^r.'^los'.battt Ht-
.proportion. Sa hauteur iï=f§t que. deux fois dans sa loagpeiir;; ,.sà
tête est plus grande, et contenue tiédis ibis et deux, tiers dans la
longueur; le milieu du djos paraît surtout plus bombé, à îcause
d’une certaine COTca'?itéf,de lanugue. Sonmmeau e^t^luserpsj,
plus saillant ; sab sous-orbitaire prus haut, sa pille plus large, et
eê qm frappe le plus, la caj^rne'-de^saé mach’OTe inreriéurè est
* plus1 conôkve. ForskaI ë^fimé bien cette rîrôotfst^lréc^psir ces étli-
thètes : curvum, retusum; sfes éi'eaiHefe=son.t plus apparentés; ^és
deuxièmes épinesde la dôrsale et de l’anale m’ont aussi paru-un peu
moindres g fluTeste, tous ses caractères Sont Beux de l’espèce pré*
, | : cédente. ; .
D. 8/16; A. 3 ^ ; . etc.
Dans la liqueur, tout ce poison Test argenté, légèrement teint
de roussâtrê yjêrlî' ' le Bas; les membranes- de Ses» nageoires .sont
jaunâtres et lès épines argentées. Il y a une tache noirâtre ou bfeùâtre
dans l’aissèlle delà pectorale; îe bout dumuseauJpfquelquefois un
peu pointillé .de bruU, '
frelon M. DuSsumier, le corps est argenté^ le. dessus de la tête
brun, le devant delà dorsale etBfel’auaâe et le bout du lobe infé-
rieur de la caudale sont jaune?, le reste -des ttlaSoIre? ‘est transparent.
^
Les uns ont été rapportés de là mer Eoqgejiàr HL.Ehfetfc
berg-mr, par M. lluppel; les autres de la opte de Malabar
par M,. Belanger, et de Bombay par M. Dussumier; il y
en a un de Guam, par MM» Quoy et Gaimard.
La taille de nos individus va jusquàjgept pouç,e,s, ForskaI
anteriora subtus serrala. Iris argentea; spin» ‘Sa»retroverste supra 'otù%rurnimgutum ;
spitM&.kA.jemhdam&gha,-!*. D-.-# A. ad sitaictOi as<fttii P. P- Totem sàptAore
appendice Vnertibra'nàtea, lanceolaia. Ante pètittits Cüflus 'tissews, COtui, 'îirtetiri's ; cmtt
ilium gibbus osseus Acutus. L. bot. dofso propior, prîrattm Tetlu, inde 'szirgens, versas
caudam descendens. Moba, ièMs obtusk.
B. A-, t). 8/1^5 B. fè; V.î^; A. P B H.
daüne.la même taille à son scomber equula. Il dit que’les
Arabes appellent ce (poisson abu-kurse, ce qu’il traduit par
sella proeditinf, rep^M. de Laeépède cherche à l'expliquer
enr disant que l’on a comparé à une selle cette callosité
concave et cette saillie aiguë que. ForskaI place ante pin-
nas, supposant que c’est avant les nageoires pectorales;
maisjle de ForskaI, non moins que la nature, prouvent
que cet appplfiil est pla'ce'Tau-devant des ventrales,
e t^ f ù nel comprend pas trop quel rapport il pourrait
avoir |avfâc une, selle.. r'
'L ’espèce nous paraît parfaitement bien représentée par
Bussel (fîg, <ya) sous le nom <ààtoitàh~karah. Selon l’auteur,
sa couleur est un bel argenté avec quelques bandes d’un
jaune pâle sur les flancs ; ses nageoires sont transparentes,
éXceptéiâ-base' des,verticales, qui est orangée. M. Bussel
assure què.Tsa taille ordinaire e || de deux pouces, tandis
qu’à quelques lignes au-dessus il avait dit que l’individu
qu’il a dessiné eruaâfàk neuf, et qu’ils passent rarement
sept. Je crains qu’il n’y$;ait eu ici quelque confusion de
ètftfe* espèce avëc notre première, Y equula ensifera.
| C’est peut-iêtre aussi à cette première espèce que se rapporte
^Observation que son goût est le même que celui
du merlan.
Z /E q u u l a coma.
{Equula coma,, nob.)
Le komah-karah (Russ., 63), tel que l’auteur le représente,
ne semble presque différer en rien du tottah-karah
pour la figure; mais il lui attribue