| vers le pylore, -autour dùqùelâl.y a dix appendices caecales, à pet*
; .près égajlfis. L ’intestin, ; tÿïin; d iame^ ùtoiformej s,ur totUgi,SR lon-
. gueur, .qui est .fort „grandjjw$e iPffia&Æérs l&»diapTiraÆmp. «efeggrs. le
, côtg gaucihe, en,dehors df^Ia wpsse gn^o^eevll, s’y ..replie mu&tce
, „à- cinq fois, puis’d revient dans 1 jOypocari^ 'dtpit!,' où üf fan trois
replis assez long^^^pe-^contourne.àu-dèssu|raes âpderidices coe-
cfles, pour aller direptpn^ntfaélfoucÊer ailiW^^ùï'el^TOeu p’rès
’ duvértàla iiaUtetir^dup^lorè:'-
La rate eàt'p~fetit|.?4 itîè^fëf|s^uéé àupfèàdû dtf(Tdénum 'et',cacl||ÿ:
dans les replis de lùntestin; lèsilaitaucei^nflpeaitès^dêcdupées eri
lobulessur leur bord ; -elles sont rejetées à la partie p^térieure ét
inférieure de la cavité abdomiùale : elles foutissent directement
danlpfe. cloaque. ,
La vessie a&ienpe est* très,-CTand|jJ s.és.p a ro is^ ^^ i mmces et
si adheféntes quon peut àjpjme V ^ é tâ c h e r f^ fc^ p r o lo i^ e , en
_ arrière en deux-gipn|W corneaafa.Æntrhernie^&^ls^liseles de
là:quetre;de' cïtaqûê'^té^des int^épinéùx’MMÎ^nàleJ 'i
Les reins ^ d’un petit volume/aboutissent ^.ungja^'ezTgraù'dfeiVêslie
urinaire à parois èpâfeses, •‘bknc]ies*r-el brillantes, qù^s appuie sur
le premier intêrépîîieûx de’ P ^ l^M t r ë ^ l^ ^ ^ p ^ r d ^ l^ v e s s ie
* aérienne^de^périteinenist-moiré No5!§ ~J^®ns'%ôu^é'' fenst bê&tbi|i>ac
de :ce -poissbii’-deà &é$tfis^de végétÿà%ÿii *
Le squelette dücMrùrgiem n’aiqd;aije^p^il^^^ ^ e' à
'1 occiput,1 Fë^dés^ûS ‘dbJ son-’ cÿanë’ îi’ëïï à !p©in^^'8Saÿitë?mâxiîlâlr,es
n’ont pas d& pédicules^ et èes maxillaires leur sontlittàcbés fixement ;
comme dans les a m p h a c a n t h é s ;sbi^ëj|&ulbffîe*. se
composent que d’uiie pièce’, dfesleMenî^^j^^%nt)vfé^^éxrtré-
mité postérieure du - MssinJet ne se‘ p rolôngë^ poliît- vers-1 anus.
Ses cubitattx sont fortdàFgès *e| -üe laissent'“qiaààjBi trésqjjëiïf tlo u , à
leur'sutürè avec î’hùméral; le trdù du radiales!; aussi fort- petit. Le
bassin s’attache^ comm® à pordinairé, -à la sÿibphysé huméràle par
une seule pointe communeà ses,.deux.æ>s,(I | y a yingi-deùx'yer-
tëbre’s, ’dont dix àbdoffîinàIës‘.JLe premtii»inteFépmeux dù-dos a,
ùcOmme dans lés lichès, les àmpMc&nthëS >èt tant l^à^és&p'Gissbns
voisins-de ceux-là, une épine moûtÉce et dirigée !en avant; niais
• dans .cette espèce elle est yop petite pour, percer la peau. Cet inter-
; *é^|êu^"’fe^t ëî^ outre remarquable parce qu’il porte les deux pre-
. . rèières épines ddrsalésf/efl surtout parce que la première s’y articule
dans; une échancrure,; dont * lèf bOrd-^ postérieur lui présente un
^^Éttdie&ule, sur lequel elle se meut, par arthrodie.
Cette structuré, bèaucoup plus développée dans d’autres espèces,
sjjiest réduite danVteBPjSjrrâ à de,.petites dimensions.
Pelé apprend qud ceipoissonise peçhe presque
Mite^ap'^dç à la Ma-rtinique^fn fnyfjdevient pas considé-
roelei, les plus^^gijôSine pësént guère qu’une demi-livre:
» :jii^ p n ’estÆtiméèPntdle part. _ •
^i^feûndividu|^îD4t loygs depuis six jusqu’à dix et onze
pojiGe^*j.j,
Z<JLcANTHURE SAIGNEUR.
/A iÿeunphufiis phlehotomus, nob.)
jSfofS.^Mous dfès< Antilles ont une autre espèce d’acan-
thure, .oei’ils^ÿ)nfondent avêc\ la première soùs le nom
commun '(fè.xMrürgien ,é|: que nous en distinguerons par
tMly.i|pq saigneurj phlehotomus. .
Elle ressemblé, à s’y méprendre, à-la première, pour les formes,
$■'; les mêmes nombres de rayons. Ses pièces'operculaires sont
,plus fortement striéesj et dans,.celles de l’épaule, le scapulaire l’est
comme l’huméral, circonstance qui dévient caractéristique de cette
espèce, comparée à la précédente; la caudale n’èst pas si éehan-
‘ crée, ses pointes ne sont pas si aiguës; et surtout celle du lobe
supérieur, ne dépasse pas l’autre. Quand on l’étend, elle paraît le
~ plus 'souvent ’carrée.
; A. 3728; G. 16; P. 15; M |M
Dans là liqueur, la couleur de ce deuxième chirurgien le distin-
- gue aussi du premier;’elle est toute entière d’un brun foncé, excepté
la pectorale*, dont la moine estérieure semble d’un jaune pâlé. Il
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