nord de la Bret-agne unej iprodigieus©1 * quantité au anois
sire Février , oîe Mars et d? Avril,,ce qui^*dit F)uha^i)daà^
une manne poUr Ie,pays;pendant ite'Garême. A Brest on
en pèche beaucoup îæùtour'rdes vaisseaux , j et ils servant à>
amorcer les ^Éinès. IgM
Nous en. avions||a:usJ les yeuxi un individu, recueilli par
Adansésn à Granville,; un onAe nommait, selon lui , êpmWm.
Gè nom, qui lui est?donné en plusieurs- autres lieux, fait
allusion à la délicatesse de- sa chair.
Il yia grande, appàrënceyjue éest la meme espèce . qui
se montre- en abondance au printemj^,vs»oles â&Qtes' de
GalieeV^ que.Gomidef«asui* s’y-,i nommer p io n et "pialla
radié crit auteur-,,comme tant d’autres*^s*’est borné àicopier
le caractère donné; par Linnéèêt pris du sauclet G. p ih n æ
a n i r q d i i s f e r c 1£ I I .
;■ -C’est aussi, lte petit poisson décriit par .©dbeck sur. les
côtes.dïEsp^gtletyet qu’il nerput nommer-, mais qu’il nom-
pâte à l’éperlan : les-sei&e rayons.. c©mptesj à l’analf^ suffi-
sent «pour le prouvers3; ? .^
•. Cestprobablement encore cette'espèce que. Penu^tit dit
être si1 commune aurprintQmps dans la baie de. Southamp-
ton, et fqu’onuy appelleAtussi .éperlan ( entangîais smeltty^
Bronnieb dit^téir vu en abondaUCéid Jile de Sheppy
une.apiérine qu’il croit : la même : que le sauclet dn Mùr^
sêillé i4 mais ; comme il ne décrit ni l’une; ni l’autre., r on
peut soupçonner..qu’il ne les avait pas mieux comparés
que les autres naturalistes, et qpie l’athérihe de Sheppy était
toujours \ notre | vmérài‘3
1. èormdei Èpsayo de lo i peces, etc., p. 89. GsBeck^ N o v .a tt. nat.
curies., t. IV, p. i©5-, n.° aa. — t . Brit. Zool. , t. DI, p. a $ $ 1 ir li« P — 4 .Tchihyol.
Massil., U
- - -- • ^ r ’rr’vrrrfa/. ufTP^
ATHÉRINJESi hSjï 3 2 9
Gronovius dit qu’il y a' des athérines dans la mer d’Alle-
magne 5 mais sl'sôn individu n’était pas mutilé^ ee ne
pouvait être notre* espèce « actuelle, car il ne lui compte
que dix. rayons à l’ânale.1
Iln e p!îi?aît pas qu’il sè ^ é rte plus .loin au »nord. Müller
ne’cit^point d’athérine parmi les poissons.de Danemarck,
niLimié' où Betzius parmi qgux de Suède. Aucun auteur
n’en place dans la Baltique.
DES iTHÉRINÊâ ETRANGERES.
Linn^. et.Bloch, qui réduisaient toptes les athérines de
rEuropAï. unëjseule espèce, n’en ont connu qu’une étrangère,
Yatherina moenidia de l’Amérique septentrionale ;
maïs il en existe un beaucoüp.plus grand nombre et dans
les deux Océans.
Déjà, Fors ter en avait ajouté Une, et il s’en trouvait deux
dans; les papiers laissés par Gommersom. Nous en possé-
d o ^ f aujourd’hui plus d’une douzaine. Les' unes se rapprochent
par leur museau un peu pointu de notre sauclet
ou de notre roséré; Jes autres, par leur tête large et leur
museau court, représentent plutôt-notre joê’l, excédent
même ce .qu’il a de particulier dans sgs .proportions. Il
y | n a qui forment un troisième type, où la première
dorsale est plus reculée, et, enfin, un quatrième, dont
la forme est plus alongée et la bouche plus horizontale.
I.. Mus. ichthyol. , p. 23. '**|
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