1 longs , : et se terminent âVant; lk pointé dé l’estomac : ils sont lo gés
ii de même que ceux du,préoé,dent. A neuf pouces dedeqr naissance
■= i sort un uretère unique qui donne dans une .véssie urinaire longue,
grêle efcitr@àtfe I ln ’ÿ a pas! nom plus; de.vessiè. aérienne. Lc péritoine
est très-mince et à .peifae argenté. Nous. n’avons rien" trouvé;’'dans
l’estomac., É
11 existe aussi des gymnètres dans la mer du Nord] mais
nous rien avons examiné aucun sur la n a t u r e q u i n o u s
intéresserait cependant dautànt plüSj qué.les descriptions
qu’on .en» a |dpnnées ;jusqrià ce, jour, rio n t^ é g fai,te^ «que
d’après des individus plus oumoins mutilés, et qu’il^en.est
de même ;dessdocumens inéditsf que nou^b^aiis géjGé à
même dq nous proguyer.
Ainsi Russei, à la fin d e son article,sur le gymnètr-e qui
porte son nom, et»dont, nous parlerons jbientêt d’après lui
(Poiss. de Yizagap. I , p. .29 ) . assure. qu’un poisson de ÿ e
genre avait été, jeté enf 17916 sur la^cojte de Çôrnôpailles,
et que l’on en avait envoyé un, dessin a sir Joseph Banks j
qu’il avait de longs filameus pour yq^trales, et un panaché
élevé sur la tête, mais q u e sa q u eu e rétaiteàsêéé.
a Sfiàwi, à la suite du gymnètre d’Hawkins qriibemprunte
de Rlodll (tAV-t partes pàg.’*§'8), dit avoir vùùn ifffpritné:
ori l’on d’éfef^aîf fifi jlimon que lui,’SH^V5fécMre*étte--
ment le même que son syfnneirus Hawhenit, et c[ùi avait
été aussi poussé siri la cote de Cornouailles, en
,,Sa longueur était, dq s i x ,p iq u e t cipjni, sa, plusngrandfe
h a u te u r de dix ppnçesi e t d em i, .e,t .son épaisseur de deux
pouces trois quarts. IL était argenté e t avait les nageoires
rouges. ;
Mad.e Letpa* eitria eomplaisahced^ fitire.des rechercher,
|jour.*rétro^TOlr '^ ^ dàcumêns^ éfe il paiiltlqu’ik ont été
cité^ri^;ec,peu-4;exactitude.
,X a bihLLothé^ue, d pB a n k s n e -c o n tie n t d’au tre dessin
de gymnètre qqe'ieelui d’u n individu pris*asur le sable lors
dti reflux yjle XS ^FçiLièr près d é ^N lco ly n Q u a y ,
'Sût la :c*ôté ti éX o r m o r ille È La q u eu e' d u pois^ôfL* était
rompue^ Üj? iM a fim o ^ ^ if! était f le u r e ^Longj d e' h u it p ièds
quatre pSrices angH^,^sür un e n au teiir d e 'd ix pouces e t
üri'dÇép a iss e riP d e d e û if'e t u n quart* ''
On lfe’^cénsidéra dans de t'emp&cotomé le Regalecùs
Glesne j ^ t In efiet | | | pourrait- biëiî*étrèf uiï individu
de?betté«ësp,eéè qui aurait ^eOjnseryé- sôn panache.
Sa jjête, ses^pectorâles, sa dorsale er surtout ses ventrales,
paraissent sur GOsdçgsin commewlclrïs. nos gymnètres de la ^îedi-
terrafpîLSes premiers pll'cé s snr la nuque, sont beaucoup
pduP^stincri’et^lieanfconp'ptuâ m^^mue ceux* du reste, de ïa dor-
' salé,j’-’le premier suhout, qtii.\ répond aridêssüS' dès ÿeux et sè
recourbe-en’avant, esfrpresque troièufôis pjus* long que la tête.
Il pesait quarante livrés. t
Le Gy.yenêtre de Banks.
(Gjmnètrus BàriËsn, ndb.)
La m ê m e bibliôthèque'Contient une lettre sürun autre
individu* échoué le ^8.,Mars ,1796, dans la baiçde.Fileyj
sur la côte du Yorkshirq;,|ot qui fut pris par deux femmes
et apporté au marché .d’York, le 21 suivant,,
D. 13 _ 290.
La queue lui manquait aussi. Sa longueurétait de treize