. crâné une ligne enfoncée, descendant longitudinalement de chaque
côté, et sur le vertex une partie triangulaire, striée' longitudinalement
, qui dg SMi milieu epvpie une ligne enfoncée à chaque
tempe; le bord inférieur de la mandibule a. dps^arêtes finement dentelées,
et sçn angle fait-une légère saillie, mais qui ne peut être
regardée comme une épiné^pi
La membrane-branchiôstè^e ■ èmb'rasse la pointe de l’isthme, par
sa réunionàvèc celle de l ’autre côté, « l e est garnie d’écailles Spires
dans toute'sa partie découverte, jte n’ai! puf_îy ,,Compter que cinq
rayons. Il n’y a pas d’épines aux"ol*^fi'e! l’épaftîLe -r l’huméral a sa
partie âupérieurê un peu #Érîefe'. La nuque est^céSnJ’mâli^^t^mit
une ligne convfexe depuis la côncâfité du €liânlrëiü’|îllq#’à là dôr-
sale, qui ne commence que vis-à-vfs lfTBaéê’ « ^ ‘pectorales. tîétte
dorsale est si profondément'écharicrëe-que l’on peut dire qu’il y en
a deux avec au moins autant de juStfesse que' poutres sciè-nés:1 Sa
première partie a rieùf aigui-fforis forts et Itpfes^Tle ptëixiieV esjt
très-court *de ’second n’a que la moitié oiï ^Shb‘^uf e/dè, .de
la longueur'dp'troisième, qui ëst lè plus long et'qui érafle1 la moitié
de la hauteur du corps; 3 diminué Ensuite jusqu’au'nëuyiëéaé, qui
n’a qtïe lé tiers de la longueur du tftntièméi: qnélqhés'muivîdus
en ont *dîx. M seconde partie de la dorsêde édtmis’sr fôîrgiië 'que la
première ;înâis moins haute, et a viûgtîtfol's ^ ^ s iïi’eius îpfès'que
%égéüx. L’anale répond à peu près à la seé1ohdélpartie'td^Jli4d^rs'àle,
qtéelle-‘devance seulement un peu; sa hauteur' est 1^ mêm épelle
a trois aîguiUons-et vingt-trois rayons mous: Léip6rti-Ô<n\p^pÿ^ef
derrière ces n ^ e ô i^ ,!*èÉ .huit fois et demie dânl^la/î'onguèur
totale; ïa caudale y -est cinq fois et demie; elle ^cçoupéé^eârra^nt
efâ1 treize rayons entiers. La pectorale a un peu'ïho'ïris.'du cinquième
de la longueuf^totale«et est un peu 'pdîîcra¥ef S i ^ky^Wsont au
nombre de quatorzërLâ' tenéraleesttinpeü plus'ïongué qiie la petto
raie ;son plus grand rayon est l ’ëpineüx, qui est en^êifté^tëtfips
très-fort et très-âpre.
B. 5; D. 9/23j A. 3/23-; C. là; P. 14? V. f
Toutle corpss et la joue d©^ poisson -sêM éôü%rts* dë’péfites