coecales (vingt-cinq à trente) tFès-gfêles, dont-l-a ténuité et la finesse
des parois est très-grand^jüces cæcums sont disposés en houppe,
p est-^dire* que, plusieurs sont réunis’ sur un pédicule commun.
Le duodénum remonte'vérsvle 'diaphragme;- arrivé prèsj'dii foâe,.
lè canal se replie,-descend e t ‘passe S’OhS^l'é^ÿldïeÿ'Se’ replie de
nouveau et remonte* à la hauteur dèl’otigine de lHntestin ,-bù>ùne
valvule et un étranglement assëfc fort ‘marquent le commencement
du rectum, Canal. court, dé diamètre un fp^'pkts* grand que» celui
de 11 qBÉtm) grêle. La rate" est petite et placée .sur le cpmde que fait
l'estomac :àvec l’oesophage.' • ’
Les laitances longent-léSsae dijgestâf, qu’elles surpassent à peine
en lôrigueurtet^eh' vplume. Ün long canal gr.èle;:vài-vèiser dans le
cloaque -la liqueur- sériïinale. '>
: La !'yesssiè aérienne est tçès-grande j les tiers supérieur de la paroi'
de^cêete ^vessie'est une mëmhranei!mmce4 transparente 5 de là {dus»
grande finesse;! les deux autres tiers-sont*fecouv:erts;par nnermem-
h«ane plus épaisse, plû^fêïte et argentée. La limite entr&ces deux
membranes dé'nature et d’épaisseur diffeEentes-,- estqranchée' de la
manière la. plus nette. En arrière la-vessié sebifurque, etehanun^es
cornes forme un tube conique extrêmement pointu ;^ént- le. Sommet
atteintda hase'de la caudale; ainsi laAvessie.va dans l’épaisseur
dès : musdesL de chaque' eMé$ ides intêrépirieux de..banale', '„tout. lé.
long du la qüeué. dii poisson.' LeS glandes ' séerétmres -dé.|fe^âont
la forme de deux rubans étroits, qui. occupent toute laîlongueur
de la Abdominale de la vèssiëi.i
Les. reins, sont: gros pdsïsie terminent un peu ayant ,1a bifurcation
de la vessie aérienne. L’uretère est trèsilong,* passe entre les* deux
: coches de la; vessie! natatoire-, descénd sur le hbrd.du.preïpiehinter-
épineux de l’anale vet en's’élargissant'un peu, il va débdüch^r derrière
,1’ânùs;
si} Nous avons trouvé dans l’estomac des écailles minces, argentées
et brillantes comme celles des chipées.
LIVRE DIXIÈME.
DE LÀ,FAM ILLE DES TEUTHYESi
Voici une famille entièrement compostée de poissons
étrangers*/!êt qui, toutenomb re use qüelîë’ëst aujourd’hui,
avait à peïné^fëùrhi^hfui^ôül dix ëspèWs tîtix méthodistes
de la fin du dérmèf^ithlté^ lèsqueW!(ë%d$re 'lès H avaient
épaipllltéei%an^%'^'5g(liirès >ëi®ftéi^eiis sans 'égard auxrap^-
ports hathi^sv^ni les 'unfsSëiiL GrbOoWus1 avait eu cependant
quelque pressentiment de «es.Rapports :’-0 avait établi
ungentë Jqtàhpdffiîsson idée, dê^Lèmbfâièkr Oeux que
l’ôft Wmihâît1 iîfàihtënaiit * sous lès mords g d'àcattihûres ët
d’amphacanthes, ifMqui dan^'le ;fait conteiiait unètfêSpècë
d e f uh*#c l’auttp.9
‘:i®ë;hom &HëpàMis, qiM lui a^itjàppliqué'j est employé
ëhtezT les'Wpéiëns p‘oür un- pbisson de la Méditerranéë
difficilefi% ii^ |llifij^ rpm à is tpfiï|ÉteÉi£c^
point dë> c'êf» espèces de Gronovius. Toutes les deux sont
dé Fooéan - Inâitéh«!l
, LinnæUs adopta de genre dans sa douzième édition, et
en changea seulement le-Uom eh*; celui de Teuthis, beau-
coîïp moins cohvènablè ëàcôre, puisque c’est le nom grec
du calmar, loligo. Il nomma la première espèce de Gro-
noviüs du Tamphâcanthe teuthis javuS, la seconde ou
l’acanthure teuthis hepatus. La place qu’il assigne à ces
1. Zoophyl.,^ — 2.-La première est notre amphaean-thus jarns, la seconde
notre acanthurus hepatus.