ment à . lIsle-de-Rrance que le fronticornis, mais qu elle y
arrivé dfc'même en grandë^ftroupes. Il en vit plus de,deux
cents qui 'venaient' d’étçe pris d’un seul coup de filet .en
Mars 1770.
■ - L e ‘ î$Àé&% bîE 'jPoîlq’À'.! 1 '
Uli Q ^ sjë^S; tpngqhps, Q. et Gaim.) ,
MM. Quoy et Gaimard, dans leur vb’yàgë â^èc le capitaine
Durville, pendant qu’ilâ se croyaient pfts*! de "périr
sur lèsrecifs^de Tongatabou, le 2 7.Avril i827yeùrentençore
le coiirage aë s’occuper de l’o b j^ d e Ipur expédition; dans
ce.tt^pénibjlet circonstance ils y .recueillirent et y ét§pijqè-
rent un nason. très-^ voisin du précédent,
dént là lôUpe'.est mêmë'prûportiomiellemént encore'plus sàillàftjte,
' èt qarnôffîè .aucunes ’ tactte's,' Sôn Corps, noirâtre "versla tête,
brun verdâtre éur lte d6‘s,' «’éclaircit sur les“ flattes, et dévient suf lè
ventre d’un blanc bleuâtre, avec quelque^5 râèlïes toutes blanches:
; desséèlic; il parâît- en entier d’ün bruin roux;-
Lès nombres ^ont cependant les ‘méihës :J-fî
D.sy29§8® 2lÜt-yiS 17; P. 16; v. É j |
Les insulaires appelaient aussi ‘ce poissdn ourrié.
L e Nason dë V laminÜ^.
_ JjŸpseus^ t?lamip.ÿii, nob.)
Ce nom â’oumé est -aussi usitévparmi ksvMalaB des
Moluques, et pour un nason to u t-a -fa it semblable aux
deux précédens par la loupe .qqi o ccupé de dessus de-son
museau.
C’est Yomma de -Renard, I.fe,part. tfig. 7g,' copie de.
Ylaming, n.° 118, où il est appelé ouma neus-oum.C&ûèrityn
le donne deux fois : d’abord au n.° 119 sous le nom
malais d'ikan oema, une seconde, au n.° 478, sous la dénomination
Hollandaise debruine-stomp-smoel ( museau
obtus 'brun y
Je l’ai c rû long-temps: le Énême qu e le nason loupe, e t
c om m f e . a un .fiïe t^ re le à chaque angle de la q u eu e ,
j’affais|io u g ço n nP Commersod n e n avoir d écrit son nason
loupe qfie d ’après u n in d iv id u mutilé ; v mais aucun dés
in rbvirlnubien A c iers. que M. Laipa^rg-Piquot a rapportés
Lie montraptrj,©es, ïîle^ts^ j e dc^is^cp^re que l^ ^ < k e s ne les a
pas!, e t qu’ils peuvent^ e t p ^ .f®:mme u n .
pro pre e t d istip e fif dans celle d ç sYlaniing. ;
La ïloupet.est un peu ;pk§ ss^Ujate«- çijcoré daps cette espace
| que d^ns, les. deux précédentes; lçcarps est enluminé d’un noir-
/ piolet içè^-fonc&^ur,,1cdos, et le long du venîre ,sont( de petites
M tacksroncfes, d’uïi bleü clair; le long du flanc les taches‘ sont
;oblongues, et verticales : il y a aussi .dés points bleus sur la joue,
quelles baies bleifëA en avanf’de l’oeil et sur l’opercule, et une
‘ lignéfbkue ïé long ’de la base de 4a; dorsale et'(le l’anale ; léè nageoires'
sont d’un gris pâle, et les aiguillons de là queue rougéS^
Renard a un peu altére cfâ* couleurs, bar il a peint le fond
du ebrps empi'sHkun, et lés pectorales l t les yfentrales en
orangé.,
Selon Vàlentyn l’oema, n.° 119, atteint une longueur
d’un pied, et lorsqu’il est bien efi.it, il ne le cède' a aucun
autre'; mais quand il fê ffeprend, n.fl 4^78, sous le nom de
stomp-srnoel, il lui donne deux pieds, en décrit un peu
autrement les couleurs et ne. parlé plus (Je sa saveur.