LIVRE IX. ÉGfQMBÉROÏBËS.
est aussi avanpée que-l’autre^ tandis que dans Tétât de r'èpoé l’inférieure
rendante au-devant d’elle.
Le maxillairçest plat, légèrçmept élargret tronqué ..eq qrrLère;- Sa
portion, dans l’état da.repos, "est un peu plus-vertiCale que la
fente d‘eJ ‘la bmiche, et il s’ajqH'oenè ’davantage "de TangW dè la
mâchoire inférieure. -
Le pranrivsobsWbitairé est alo'ngè'<èt sans délits ni é^inès^les
suitâ’wsbïftJfè¥t,ftfoitsj'‘et eh -général Cés!Ws î?èÜ#ent peu la jtfue.
Le limbe du préopercule forme un ariMhrfg ét tris-ôuvert, qui
s’étèhd un peu obliquement en avant, depuis le1 derrière de Porbite
-jusqu’à l’angle'db’îla" mâéhôirë iriferiéStfre; il n’a' aTicunte dentelure
ni smciirie^iné,- mais àÜfde^busilïe^^^'trélbitéTriférièuffe Jil y
a BéitX cfbehetS;-k quelque'ÆstâfrcëFuntâtiiHelsiis ’de’ l’autre, 'dont
l’inférieur saille triêihe' aif-deSsëiis 'de la jfoèg'eyét qui1 ap^àmenrient,
îl%'!Mèlmier~ à ï’àrticulaifé, fe^secdhd ’ à Fan^Æfarfe 'dé mlfrîacnoire
inférieure. E’operbulé esfpëtist, plat, %e4Lormë1 triah^ulMfé, son
angle'postérieur èst‘t*fgü saffs’^êtfe^épriiéux; le kiibojWi^q e$f*un
demi-se^mënt de ééfdé, 3ePKbtfrfïÇefcillé unè bandeyfonguë et
étroite,' 'pTÔ’portiorinéè^â^la'ibii^uèür de FàÿcénlFéÿieür duffpreèper-
lfCüîe.-'En avant~de l’oeil est'un 'lé^ér tubercule,'^11 *ftir^pWèipuf de
chaque. oqté.run .petit 'crochet,1 !
'"L a ;féxîèe' HeV'dures* descend^ju^iîfà’Faiiglë" de la mà<Æbir|ÆlÉ}iâ-
rieûre; c’èst entre 'c'ëà deux ân'^ëÿqul"MtmemDraoe bWbHMosoege
s’unit'à 'Pist'hmé; mai^’cdinme les dëux braiiênèà'ael’a maclfife
éoüt tfés-paobiles l’une Sur l’âu tfë^^ s^d bgl^ ^mtnt’Sw^ter
! b ë Sà ^n p ^ ëlSr^Fffâtitant la bouche etTéjf%rifthëÿ cfé'l'b'ràttchies.'
•Une bandle étroite de'derïts'ëiï dàtfdësy fidés’*et p‘éurnbmnifexpes,
j garnit'chaque mâchoire. Il y éà aàuskiun petit 'grbüpVoë T^Kaque
cité du bord antérieur dua ymer; mais,^l n’y^en, a pas;^mt*p2la-
4ïâkt ni sur la langofe» qui est "étroite ,' hn peu pointue ‘et fort
libre. Les avheattx ^ s branchies -kOhé'lgaffit|î- di^fubèrcdles^lftiés
de dents en cardes, ainsi tjué’ ifâf ■ jj[>eu
' volumineux. La membrane bmhéhios'ïëgey- àsëez' éfroiVé?’'^^ !sou-
.tenue par- Sept myohs ‘ arqués, dWf
derrière là’ tëmpë,‘ à là hauteur dé: Fceil, et àü-désS-ùs de f ’oirocë
;datomes|gÉÉ*ùpe q«ite crête terminée par une épine, et qui
(Chose singulièrél appartienty ainsi que nous le verrons, non pas
au surscapufeire^ qui est articulé finement au crâne, mais au
scapulaire^ L’huméral donne aussi, entre l’angle de l’opercule et la
pectorale, une pointe comprimée, tranchante en dessus et en
dessous, et qui se dirige obliquement vers le haut
La pectorale est attachée un peu au-dessous de la demi-hauteur
du corps , arrondie et de grandeur médiocre, sa longueur ne faisant
gnère^eftîeîlè neuvième'bu le dixième de la longueur totale. Elle a
îd^kit de premier est simple et les autres fort peu
fameux. On - sent à travers la- peau, sous la pectorale, la partie
énfériMireditstÿletcaracûïdien ■ mais il ne se voit pas à nu, comme
Ælffch.. Fa représenté. _ - ■ „
: Les ventrales »sont attachées à peu près sous les pectorales et
-plutôt un peu .plus en-avant; elles les- dépassent de beaucoup en
arrière,- car èlIeS -approchent d’être trois fois aussi longues, ce qui
fait atteindçé' leUrpaihte|&squ’au troisième rayon de l’anale.
L’aiguilloU n’a que moitt^i de la longueur de la nageoire. La première'dorsale
commenGe à quelque distance derrière l’occiput, ,au-
fdessüs dç^;Fanglse-‘du -pr-éopercule, et elle partage également a^ec
là »iëOOhife'oë qui -resté *des|la? Courbe du^dos. Elle a dix aiguillons,
dont le premier-a un pepipïhéidU tiers de la hauteur du corps;
| le sèc'énd et-le troisième le ;Surpassent un peu ; ensuite ils diminuent
jusqu’au dixiêmè';!qui est extrêmement court. Chacun de ces aiguillions
a sa« base'asniëe'dë chaque CÔté d’une épine courte et pointue.
Ils sont eh véloppés ;-eomme à l’ordinaire, par la membrane générale
-^dëla nagéôire;1 maïsfmefte mèmbrane, en approchant dé leur sommet,
prend de la consistance et se prolonge en soies aussr ldngues
-que lés aiguillons eux-mêmes, et sôhtehUës à l’intérieur par des
fîbres ëlaîstiques qui paraissent un prolongement de la substance
o'^s^ropPl’aiguillon.îCes enveloppes sont aisément percées par le
* etf-tHS#i' toi lieu d’eny paraître des prolongemens, élles
-'iteblent db^làmbëà^^dë la membrane; mais c’est une fausse
apparence. La "seconde dof sale est contiguë à la première, et néanmoins!
la membrane est bien échancrée jusqu’au corps, en so.rte