*—Fendroiboù.il se plie, et uù? léger étranglement semble marquer
■ J’o'rigirie de la ibrançhe montante delë^tQi'iaç. fjge wilpe^e est eylin-
I drique et -situé. obliquement, d evanten mpijÿeslWiê^lÉESto'Ùas
dans,le ventre;'il y as câjaqf eoeeîims aurpylore,' dont .ùn, a la pointe
*»rî.âirigée;yers le diaphragrfle, trois a,ùtre&î.spnt i|epJiés^ft.léux-fnÔ£Wes;
le postérieur sèùbestJ àlongé ;le ; lçtO g, d e feéîomac.' B
L’intestio est un peu, moins plié, en spirale qjile,’çel’]uj,>des. apaUr.
tliures ou des nasons : i l remome^souslg* diaphragmer longe;, Ja
partie supérieure de to&ophage dans le -côté, droit, descend sur
4 les muscles abdominaux,, remonte au diaphragme, passe dans le
côté gauche,'y fait trèîs longs replis ùn peu sinuèùx/'sé dilate
beaucoup au dernier, ét se. repliant sous le'pylore, il ya*sè rendre
à l’anus en seifétreci’ssâe^tin“peu.
Il y a uriej grande vessie natatoire fourchuevet entre les-tdur-
ches'on vmtqâ“vessié,urinaire? qui ^i Ta forme "d’un long capal
cylindrique.'
■Gé poisson est phytophage4.comme les^ espèces des
gfenjites AcanthüEesJ,et!5fas,Qïis) a^eQ^squelles ôri^voir .qu’il
a les plus grauâhsîÆiffinitéSui.
, JLe PRÏt05îURE,LANC^y.fE,
t npb. ; ^ ù a n th u ru s se p lp ^m * Laügsd-. hnfr
ï i i de LangsdôjëFtaE^apporté d iî J.apou au Mùëé&fde
Berlin un prionure sensiblement diffefènt du p'péeëdént
par son, profil un petf cdncaëè àii-'dèss'cfÈi's*d:ési yeux ; sdh rnùseau
r un peu plus avancé, eft surtout parue que 5>a queue n’es%Jirmée
de chaque.' côté. quê de quatre làmes saillantes(et,trànchaütes , mais
non dentelées, et toutes .sur une' mêp,é ligne. La premièrees.t la
a plus petite, et la cpai^nÿ^lalplns gyèn4% chacune d’elles paraît
attachée au milieu d'une plaqué ovale plus haute que longue, et'
qui parâh faire une tache noirâtre sug le fond brun du eorp^fqnd
qui paraît;; ;»wip tiidê^au |4ùl)AtE%dn icùté. du ventre.' é
9^ 2|A*-âl?t#^c- iôj •
- Les tégujïie^is.spn^ de la même nature que .dans *le précédent ;
une^peayi ggynie de, grains si menus et s* serrés qu’elle ressemble
à. une e s p ^ p ^ | cpjf.tLe long de-la ligne latérale spnt des espèces
de.lâches ou dewpoints un,peu plus mats.
L’individhi' est long d’uif’pied.
DES: AXINU-RES', b
et en particulier de i ’AXi^pM^ThyNNOÏDE.
(^^inu^s'Mjnnaidès^nôb.) -
y„TJne forme plus->alosgée| moinSi|Qmprimée', à peti près
semblableiàhtsêU«© du thon, une bouches.très-petite et
dés dents éxfées&iveiïiëàt grêfes, l’armure de la queue
consistantrde Ahaque èôté eri une lame unique, tran-
chanfh^cbupée %arrémentx comice un fd r ’de hach.e, et
non ^ttaehée à un bouclier, distinguent1 cë genre des
nasens^dorft il a* d^lilïëurs l’âpreté général^ et les Jtrois
rayons mous aux ventrales.
- ï'foitô tirons son nom d e la forme de salîlame caudale
haebe). Unè setile^ilsp1èëèt'n,oqs‘est connue jusqu’à
cejo iir|iet nous l’appellerons 'jlxïnurus ihynnoides.
■ -, Sa hauteur est; trois fois* et, un tiers dans, sa longueur; son
épaisseur déux fois'dans sa hauteur;’ sa-queuè est très-mince, et
sa caudale < coupée en croissant et raidH eojnme dans les scombres
en général. La courbe du, dos se continuè sur le profil, qui finit
par un museau un peu obtus. La longueur.de là tête, dq la bouche
à l’ouïeé’estfid’tin peu plus du cinquième du total, et la fente de la
bouche,:nëntame pas» le sixième -de ce. cinquième; un repli de la
peau cache le maxillaire* Lè front est un peu large et très-rlégère-
ment convexe en travers. L’oeil est assez près de la ligne du profil,