La rate -ÊjSt retenuesur-la branchëJipylorique de et
derrière l’anse recourbée du duodénümi Elle est rougeâtre, deforme
trièdre; mais à surface concave en ayant et èn arrière, et Convexe
■ du'côté gauche.- .• ■ - ,■■■>. ■
Là vessie*aerienne est assez grande, ä parois mincesret argentées,
arrondie en avant, et donnant?eßf arrièr.e deux;petites'.ôornesi entre
lesquelles passe d’uretère commun aux. reins, ils fbrimènt une masse
, renflée jn avant de la vessie aérienne H et; se-' prolongeant; en- deux
filets -minces sous^ la éqlonüe vertébrale^-;-réunisîfensuite prèsjdp
la bifurcation .de la vèssie,' il n’y a plus qu’um seul ïurëtère, qui
• donne dans: uüe vessie urinaire étroite et fort longue jbear elle
5 contourne tout’fle fondv de laveasvité' abdominale.jpouir remonter
ensuite à l’anus. Les parois'de cette vessie sont minces et blanches ;
le-péritoine", qui protège tous -Ces--viscères, west blanc angenté et
pointillé de noir; -
î Ge- poisson- se nourrit d’algues marines. rLtesophage ^.-l’estomac,
étaient remplis dei^d^ritias de plusieurs* espèce^d® Satgassurn, et
les débris-y. étaient tellement foulés, que eetiè^portian^duucanal,
digestif était très-dilre les intestins. grêles en étaientwégalemènt
pleins^ mais les matières étant, plus digérées, Tintéstin était moins
résistant. I
Cette e^>è^ àbotide^^risIe.-de^FraïiiâeJ- Commer-
sonnous en fournissait la preuve^,car la description de son
naseus fronticornis faite -d^ns.cette île; elle ajoute
aussi'quelques^ traits à Thisio^e naturelle d e :
èllq lui donne une iéouleuijlgrise, cendré^sur le corps, et
des lignes obliques jaunes surla dorsale et sur l’anale, qui
produisent rin effet agréables Ce poisson nage ern-grandes
troupes, ét fön en prend souvent beaucoup à la fois dans
les "filets. L’indivmù' décrit par ComriïèrS'OTi ,était long <iëc
vingt-deux pouges/rnàik iLy,en a de beaucoup plus grands.
r ,Ce naturaliste nous^apprend déjà que
assez'loin dans le grand Qpéap, car il l,a observé dans le
même voyagé auprès d’Otaïti. -Lés nombreux individus
réunis dans la collection du Muséum confirment cette
assertion,}
Fors ter. l’y a également observé, il dit qu’on le nomme
eooma >qu’éoumé.,%uom qui est générique, * car nous le
retrouvons encore appliqué à d’autres ; espèces du même
gçpre ,f'b® tamm en;(?à r s o n naseus lituratus, $ p
ÿ lie briin d o n t ce/poisson!; est teint tire sur le verdâtre;
3on ab.dpiien et sa quéue,prennent une nuance jaunâtre,
et outres lèsdignesrijà-unes de.sa dorsale et de son anale, ses
.deux nageoires^ s ont b ^ f e s ,de bleu.
Le nàtur^listtè anglais n’a décrit qu’un individu de quatorze
.pouçps ;. s,ednombres sont ; (.
B;jjsàjme/2f î-A. 2/socr i6 % p. i/n ; - y. i/3.-
Jjelon MM. Besson et Garnot, son nom , èrWaigiou , est
inécave, et* darfs les Carolines, mossa. Les Malais l’appellent;
ko oïiUpassère* ? ■;
fi .Ces naturalistes! le,..disent 1
5'gris ’foncé"sur le dos, presque noir sur k'bôrile', roussâtre au
- ventre ; ses nageoires dôrsâle* et anale ’ont les layons rougeâtres,
» des traits obliques olivâtres et un-liséré noirâtre. La ^.caudale a ses
bords supérieur ei inférieur noirâtres, et un liséré' yert à son bord
j terminal.
Ils- donnent les, nombres spiyans.:
D. 6/28; A. 2/28 f c . 20; P. 16; V. 1/3.
Leur individu était long de trois pieds.
Il nous paraît probable que leurs notés n’ont pas. été
prises sur un poisscgi récemment tiré de l ’eau.
- MM. Quôy é t Gaimard l’ont de nouveau observé et des-
1. Bl. Schn., p. 181.
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