et un tiers, son épaisseur n’est que le tiers de sa Hauteur. Son
profil est une continuation 'dë la courbe de TôValé: Sa- fête est
d’un quart plus haute que longue l’oeil a en diamètre plus du
quart de la hauteur, et ■ est placé à une distance, de la nuque un
peu moindre que son diàfn'èirè; ;sa bouche n’entame pas lë tiers
du müseauj ses dents sont tranchantësypômtues,et leurs dentelures
ne se voient qu’a une asséz; forte’ loupe. La ligne du ptjéo-
percule est droite, mais aussi oblique que le museau; :cgllë*3ë
• l’opercule est en1 arc de Cercle. La fente'des ouïes est eourtle comme
dans les genres précédens, et je ne puis y compter qhe trois rayons ;
les nombres de ceux des nageoires rappellent ceux des nasons.
■ B. Sjifj. 5/28; A.:2/37; C. 16; P.
La dorsale et l’anale conservent partout le quart, à peu près de
la hauteur du corps. Tout ce poisson, les nageoires-eiceptées, est
couvert de très-petites écailles rudes, comme celles des nasons;
sa ligne latérale suit la courbure Bu dos à une distance égale au
quart de la hauteur. Il n’y a aucune sorte d’armure aux côtés, de
la queue.
Sa couleur, esj un gris-brun-claif, qnifonne, excepté un anneau
blanchâtre qui entoure sa queue. C’est cette circonstance qui nous
lui a fait donner le nom spécifique d’anhuïaris.
* La: longueur de notrè individu‘njèst'qiiè de deux pouces
et demi.
Il a été rapporté de Timor par MM. Quôy e t ’Gaimârd,
qui eu ont parlé dans la zoologie du Voyage de Freycinet,
p. 377. Ils ajoutent que la eaudàlè-=é®M bifôlê# de blané;
la dorsale lisérés de noirâtre et que les pectorales étaient
jaunâtres. ••
et en particulier du R é r i s a ^g o it r e .
WËÆeris' - angingsus. )
Quelque petite que soit ïa taille du poisspnqui fait
le .sujet çef^article.^nous. n’aj^ns pas hésité,* à, l’établir
comme type [d’un genre,j particulier, ,dont il u’e^ç encore'
que l ’espèfeq unique. .SesyiaBafûtër,es?ne.conyieunent:eu -effet
à aucun desq?ë®res qui- cofmp©seifc la famille5des Teuthies,
eè ïèa pdfesoti dui-Wnême doit'^êétrer évidemment dans
cçtte tribqWij,
Il .fient rnêrne ÎTe^jdeux^|edrest,précédenscar il a,
[comme les^xinures, des dents fines et lisses, ppîptues,
^E||éiSl’une cqpjtre l’autre;,mais .jl a la queue ,nue?. sans
aucune' armure, ç'pmmeyïes priodpns; la positiofi. ayaneée
des 'ventrales.^à cinq, rayons,,.lui donne?encore uni c&rac-
t |r e parti’Cùliér. |
’ Zi'î& ' cfeûôminatioïr de bÉSÇj'sous laquelle "nous faisons
'connaître' notre petit’ pôisson, est prise 1 d’un passage
d’Âtïïénee1 dans, feguel DipKife de Sphine , parlant des
différente^' qualités de poissonspour le. gout.m la légèreté*
de la chair^nomme le ^Js^omme un poisson tendre
et qui Va b i e n l ’estomac.
Om Veftt qu’iKest impossible, d’après* cette- indication,
de reconnaître jamais l’espèôe-que le philosophe grec indiquait's'dfo#
cèfiorn.
Les héris Orit un petit nômbre de rayons épineux à leur dorsale
.| ..et prie peau • chagrinée*, ru<Je^ans écailles, comme les nasons ;
1. Deipn. , 1. Vin, c. ip i p.> 3-55; D.;