CftiAP. III. CÉPOLES. 2 9 3
petites fossettïÉr L’opercule est taillé à peu près en-quart de cercle;
sa loffea’euÂést du quart de ce[ll$de la tête; le subopercule, long,
et &roit‘, .à f placé obliquement etsûit la courbure du bord inférieur
de pbpercÂ^^rinteropercule est aussi assez étroit' Les pùies sont
feridues jusque "sous l’oeil, où leurs membranes se réunissent en
embrassant l’istbme; elles ont six rayons chacune. Les râtelures de
la braiichie interné sont longues, grêles et serrées : dans les suivantes
ellëS^se raccôufeisMnt. L ’opercùïë porte Une demi-brâncbie
ksa fëcë interne. Il n’y ä pas d’armure à l’épaule;' Là pectorale, attachée
un peu auidësSùïÉl du milieu, est de fdriirë arrondie, et sa
longueur tient vingt-deux fois dans @&He de tout le poisson ; ses
rayons >sônt aü 'nombre de dix-huit. Les ventrales sont un peu
1 moins longues", et- adhèrent au ventre par les- trois quarts de leur
bord (interne. Leur épine, qui eSt asséz forte;* a les deux tiers de
leur longueur; La dorsale commence à la nuque au-dessus de la
naissanée de l’Ouïe, et se continue jüsqu’h la caudale, à'la base
de~ laquelle, sa membrane s’unit un peu. La hauteur de. sa portion
antérieure est des deux tiers de celle? du tronc, et elle ne diminue
pas autant que le corps en arrière. NOùsy avons compté soixante-
J§ept rayons; il y én a quelquefois soixante-huit oh soixante-neuf:
les dëùx où trois premiers sont lés seuls’ où' nous n’aycirs? apèfçu
ni braùches ni arûculatioù; mais ils ne Xont pas moins grêles ni
moins flexibles que ceux qui les suivent. L’anus est sous, le huitième
rayon de-la, dorsale, et l’anale commence,sous Je neuvième;
ça hauteur, la nature de, ses rayons, sont commet dans la- dorsale,
et ëîhrsunit de même par sâ membrane à la base de la caudale.
Nous y ayons trouvé soixante rayons, la caudale en a onze, dont
ceux du milieu sont les plus longs, ’ce qui lui donné une forme
pointue, et quand elle est contractéè elle semble terminer le corps
par un filetf’vl!
B. 6; D. 61; A. 60; C. 11; P, 18; V. 1/5.
Les écailles de la cépole sont extrêmement petites, ovales, lisses,
entières, insensibles au tact ; ne s’imbriquent point et se présentent
à la loupe comme autant m}'''pettts;’ et disposés en