r L^irséparation des ,gymn£fc;ç&, jat des Jttaphyÿ$è®esu(ne
repose en effet que sur la composition des ventrales et
Sur l’armure 4e la_ligne latérale,
On s’explique raj4é.&di|ïeRene.es,app arentes, aussi ç$|raor-r
dinaires que celles „ que l’on remarque d^ns yfs^nQin-r
breyjses description#, quand on aura pri#conn#iss,a]Picj^de
la singuliére paganisation des^poissoris qui en sont l’ohfejt.
Leur squqËfite, quoique fibreux,.pest; dans,toutes s^s
p a r tie tendre, comme celui du cyGlopJèrp; le^p#,4e s |
tête dntjàipeine plus de goa^sjanpe que du : car’t<m j^ouillé ;
ses vertèbfês tiennent si peu ensemble;,,jque le corps se
brise dé lui-même par,l|s ^fforts du.pqiss^ vivant^omme
celui de Tpryet.-qn de l’ophisaure l ou^eqmme^ lafgueue
d’un Lézaxd.ViSeS longs rayons,, dans le premie^g^Ssuft^ut,
se rompent comme dgs^Jils de yerrè^ sa ^n n i^ ^^ i-mp lle
quelle J e d éepnfPQse,en quelques p é a g e s e t quramémà :
dans l’esprit ide, yiu son corps ee cpnserye, difficilement
entâèr^jll ne.st point étonnant qu’un être qqi. pjé|C^paf
beaucoup au-dessus, d’un mollusque par;la solidijte ^perçie,,
avec l’âgej,i#t par le nombre,infini daccidens ^ rx q n ^ s o n
genrqde^vie l’expo^ ^ ^ ^Appendices, ces^prnemens exubé-
rans’eprêles, qui le distinguent d an sa s premiers moniens
d f 4fon existence^d
Presqu^ddus les vieux poissons usent plus ou iqpjns
leurs nagepi|es , et ceux .d’entre eux qui les ont d’ahprd
alongéesen pointes grêles, n’en montrent plus;^ un certain
âge que d’obtuses ? ou dè tronquées. Ç’est un fait qui a
lieu surtout dans lé Zampris ou zeur lema, qui ne serait
presque plus reconnaissable dans la vieille &sg,pour peux
qui ne l’auraient vu que dans son premier état-,dé fraîcheur.
Lés trachyptères ne sont point estimés .comme aliment.
Bélon dit <|iÊ$^th faux deâi Vénitiens est rejetée de toutes
lès tâblêlj parde*! quetp#f:t;‘; qu’on veuille la frire ou la
bouillir, elle^etifeout en'gluten ou en colle ; aussi quelques
Italiens la' nemmeit-islpeske^qolla~( jioissont colle.). !
Rondele gÆrâigâ moins’ ihal Éë&loenia, en 4eS^comparant
à'la sole; d kis jd#'ei|ois.' que5'oést ûnejdes.assertions quil
tire d ë | anjei^fsj4ét qu’il mêle’.âisontexte'tGomme, s’il, était
sûr quelles ptiftèritl'sur la'iBena^îespfeced'Ç’est aussi de
.cetteimanière qu’il â-fohte que sâifhçffièestdure', glutinensè
et m|l-sa®'f o l Sson iS v iq ü ’e ces poissons répondent
aux ëoenia d ^ S ens n’est pagjÿ|§mplé tentent démontrée.
Aristote nSp.it qu’un ïnfSIffllI taenia: c’est qu’il
n’a que d ‘Q iP tv n ^ q ^V i-^ nmtt^JC%n|ij!|ill€| étalés 'muges tdu
la<JjSipaïs, c© quâ^signifiequ’il manque de ventrales,! Aristote
niappeWb^ nageoires paires: C.ela pourrait
à longueur s|ehtetadÿe de^grandlî^mnètres- lorsqu’ils ont
perdu ces-nagepirp^,’ d’autant plus q u ë je u r fprmq répond
assezÆ$èn à ’cqnom de taenia, ruban. ,
L’epthète d,â@M'Xmj > molles, qu Oppien (Hal. I, v. îobp
donne aux^Tamaü >| conviendrait Æ^cqles^jasspblement'à ces
poisons p mais d’un autrq ^côté, on qite un pass é e de
Speusippe1, dans Athéhée , ’qui dit que le taenia est semblable
à la sole ($bvjXa>G<jov) et à la" barbue ($r\rr<xv), e fu n
autre d’Épichairftïè,5 ‘oùé ce poisèon J'est présenté| pomme
un manger délicat9 : deux circonstances que noffrent’point
noèdrach'yptèresi Enèffetpletéihoignage de M. Risso confirme
celui de Bélon : il assure que leur chair est muqueuse
et s(e deCoïripos'ë promptement;.et dans.sa: nouvelle édition
il la déckïtë'mblle et ssttiS goht.
1. Atli., 1. VH, S> i3 g , p. I ; —* 2. Idem, 1. VII, p .3 a 5F .
10. 3 i