Le N a$on •€^‘n^iN. '
ija^Naseus CaroUnarum , „ n q|b«j)
MM. Quoy et Gaimard ont publjé*|dans L,.%Qq.l©gie du
Voyage de M. Freycinet;,» pl.-6 3 , fig. p>.tî3f 5 ,=iSous le
nom d’aspisure la Marche fçAspisiirus Carolinarum) ;?un
Véritable sièMblable à cfe Kturatuss<M&\s âutrem’ent
oôloré, et sans longues pômtes' à la caudalè.-Çomme ils'ne
font point rapporté, que leur description n’est faifè que
sur le dessin, et que le, dessin n’a point/eté yérrfi.g par êux
sur la nature, on n’y a pas marque, les nombres des rayons
tels que je crois qu’ils doivent. être d’après.l’analogie des
autres espèces.1
Ses couleurs soit un gris, brun sur tout le eorps, varié par de
très-grandes taches irrégulières d’un vert pâleÿ-’cette*^instance
pourrait faire croire qu’il est d’une éspèce distincte. Lès naturalistes
que nous1 venons dé citer avaient reçu ce poissôn en travérsâriti’ar-
chipel des Carolines, Il était “long de six pouces.
Ce poisson leur parut bon à manger^eFil fut donné
aux malad^ de l’équipage. MM. Quoy%;|t- Gainiard ont
obseryé^ ; Guam un nason qu’ils croient être très-yojsin
de célui-ei. -
Le Nason o l iv â tr e ; j
(Naseus- olwaoew Cfk&odomotivmeus±é<dÿ
JNous p l^ p n iM provisoirement le poisson dont nous
avons trouvé une description .dans les manuscrits de So^
1. On marque cinqOpines et Jrenjte-six oq trente-sept rajoqs mou$ à la dorsale,
trois epines et trente-trois rajôns mous à^aiJale j teï ce qui surtout marque lê peu
de soin du dessinateur, neuf fàjons à la Tentrale, quoique dans lé texte l'es iiàturalistes
n’en aient compté que six, ce qui. n’est pas plus approchant de la-yégrité,
landerf avtdc'tune /figure- faite, pan Parkinson, pour être
anriexéêà lk ^ e s c r ip tiô n .''.
}0C k petit nâsoh a^e^rnulfeau'lvanpé, ùnë' petite saillie au-dessùs
de l’orhitévla "caudale fefiâWléèssâïls; prolèrigëment filiforme. Les
HdeuxîplaqueVde la qtléüe^rie parë&fce&t xp è defux fiôülts bleus; tôut
le reste du fcorps est ^erm^yàtre; La dorsale1 *. est plus fônoée,
,}hordée de. violet'ÿ’8è^rayèe^dé*deu® bandélettes longitudinale^ blan-
' çhâtr^S§anale les' a^fileu|fi'es|i?et shn^ord est bleu, La caudale a
éôla base bf une ‘ et »kautre mifÂtié' o»EvcEéi?eî I
I Les nageoires paires sont pâles et sankiliaches.
Solander à Otaiti, où on le lui a
d,|nnjév^sons le uom aêum'é-fné. .
long die quatre,,ppifces.
II en avait vu un ailtré plus pptit, |d'e couleur plus ceh-
dri&j et qu’il regardait' comme uiifjeùné'individu ; l’anale
naVfit. cependantjqu’upe seule raie.,b le u e ^
L e Nason p o in t il l é , *
K (^asm^vdmtulàtu^ nob.)
Le Recueikde;yiaming, dont la fidélité^est5 aiijourd’hui
si bien|i.©n!stntëçy a représenté, n.°- 21 ês^souS le nom de
jannetjejeverts,:
une espèce à museau plus.court que le précédent, mais saillant,
profil montant par un%çpurbe arrondie, sanstubéçositémarquée,
à caudale - éehanerée et sans filets" à l’extrémité des>*lobës, dont le
; corp's jest bleu ‘.foncé, presque noirâtre/parsemé de petits points
i blanehâtrès ou bleuâtres. Les plaques, de la queue sont colorées
;n;C^)mme le fond du corps. Il lui(dpnnë, üne ligne hleue le long! dé
la base de la dorsale,! celle dekanale ena deuxi une bleue et une
. rouge.