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et se cache ainsi sdüs les tégumens.dù'Oi^&.J!fest Je scapulaire qui
se.* montr&y|ous forme, d’épine dans léihaiiti dé4 LouyerfcuFeïdes
ouïes. J,é ne trouve- âu stylet coracoïdien qu’une seule; pièçÆ, mais
très-longue et très-forte ; elle descend jusque tQutkprès dssî piëces
qui soutiennent: la câfène ? du ventee-et de la 'pointé postérieure» de
l’os du bassin de.son oôté^asÿec lequel elle ne s’aufeule cependant
pashLe^eubitala bien quatre "fois la longueurs èîpdéuxyfbis
la i largeur d u radial^ffes. quatre- os-_ d m carpe ont ichaùuarfh;. fo rame
. ; . flfi d erjY ■ iria;ùgles> attachés par- leurSmateÉietS;; pénis orte * qu?lir ont
l’air.îd^être ^u nombre de huit et:d,e^former deux rangées!' Les js$e
du bassin, placés verticalement à côté-l’un de l’autre^jonlune .partie
antérieure ;plate^î#n;®)rme de long. îtiiàn^le^f ddnt la pointesrnonle
pour (s’attacher- à la->sympbyse! des huméraux, ©f; une partieinfé-
; | rieure „et npstérieurc- dirigée* en arrière» et-en forme rdiépihe..Sq>us;da
| première partie s’attachent ]«@silentrales,r sotiSila s#ondeJales|pji£-
miers-éeussons de ladouble carène du yentre.- h’iphie'a ^rehte-deux
vertèbre^, du doublé*îplus hautes que lpïfgu©sun peu eompri-
hiéèlV^creilsées de chaque côte "de-trahis fossettes; feujrs apophyses
épineuses varient en grandeur;ét;hn mtéctMn'p%méie-C(hiîofhaer
.. à la courbpre du dnssiljft nombre des Anterépineux supérieurs est
aussi.de trente-deux, et, ils ;sejdistribuent foErinégalement^entKe-les
apophyses épineuses. J 1 y a quatorze, vertèbres^abdominales ||l|est
àlla qtiinzièrofr qu’adheFe le premier;;et: très-grand <intiei;épineux
quiîteçming, l’abdomen en .amère; il ^qrtihle. pjei^rikrguillon
de l’anale, :auquel se; soudent les interépineux des trois, autres. Les
interépineuxde Iaseçpnde anale sqnt distribués plus régulièrement
que ceux „de la. seconde dorsale ; il y en % toujours deux dans
.' lHBtyyape:-d.,Mn».inpa^ii|5ge. épineuse descendanteià^Ihutret
Un petit filet transversal, qui adhère à la crête postérieure de
,. l ’oec^ut^ Représente peut-être la- ipièqe : naanqÿt|ntj| durftylet| mais
de pôtes proprement ditës ,- je n’en voijs qh’àj iêpi^pMr. de la qua-
1. M. Geoffroy a décrit ïe coracoïdien- de la dorée,;Ann. du Mtis.,-D»a4*5j;
mais dans.sa fig.^, ibid.,. pl. fait venir l’extrémité inférieure trop en avant
et jusqtéauprès^dç^la. ,^ s e . d$ la. ventrale,. ce qui àVfcs.t p.oiïrt çxact, gu
CHAP, XXI. i t es; \7
- trième vertèbre ; elles: sont géêles; courtes et bien éloignées de des-
r^pençlre jusqu’à la carène ventrale. Lès anneanx fiornïés par les apçb
f fphyses tRansyersesiCopmençenpà la neuvième vertèbre et continuent
‘ jusqu’àt la? dernière Jèd’abdomen. C’est à ces anneaux que
tiennent lès cinq dernières paires de côtés. R
-, La d e B o n n e -E spér a n c e.
{ZéÈs capëréis, nob.)
' Eeu M. Delhl&iijde1 â “rapporté du Cap' une dbréé de la
plus grande refs^rnblance avete/notre dorée commune, et
dont le principal Qa®Qtèréf consiste seulement
en qp>que -lessbboucliers épineux^ qui garantissent les côtés de. la
■ portion molle de; la- dorsale et de! fanal©, sont .plus petits, plus
n‘ombreuxc(fci^pen a onz e |^ t surtout que .leurs .épines ne sont pas
„» (fourchues, mais isimples, ip|tates >t 'inclinées en arrière. On peut
■ remarquer aùgsjj que le» boucliers 'qui forment sous’ le veBlpn^çne
dpuble.carèu'C,^îie_sont .pas armés de pointes, mais que leurs arêtes
sonb-QbtHses. .
■ D. 4 —"32; C. 13;. P. 15; A. 1/5.
’ L’indiyiduiest long de deux pieds.
JL« D orée d u J a po n .
(Zeus jdponicUs3 nob.)
pous avons dit que notre Recueil de poissons, imprimé
au Japon, offre une figure reconnaissable, quoique peu
soignée p.d’une do!é;e fort- semblable à celle de nos mers.
1., Il y atuâe-assez bonne figure du squelette de là dorée à la treizième des
planches, ichth^éiniqifes de M. Rosenthal; Blais on ne sait pourquoi l’os huméral
y èSt .écarté du corps de l’hyoïde! La partie de l’avant-bras n’est pas non plus
assezdétaillée.