CHAP. III. NAS'ONS. 2 0 /
iiva des taclàes*- nuageuses ; la caudale est brune'a la base, et a toute
sa$Éicû&éIpdSt.éneuré jaunâtre.
IViSjl. QjGa i îma r d [ opt rapporté les petits individus
d,es‘ Guinée«,?. aé> nason .serait donc
répandu dans toute: la mer des1 Indes*'
» Le 'W'As cfcs$%o,Bfe> L
ywheüS’ marginatiÈ, noB^TV,.
*■ C É è * e S ^ é è É ^ o u ’,' lube desdes
Amis1, païftfaiB <SjcMfet ^ i h iW ? ^ b i e n ^ t i f l ^ f é ’par
la position; .dlfson n’p s t ^ s S i - e les yeux, mais
• îm neu ||i ||||Ë ^ fVf U b°Ut dU
r '' mu£ui;«le lâjgroife est peu saiîla|||t^^iuseau lui-même est court
oÿtus précédens ; sa
niauéeur #éat qf^We/tîlfe â |® l c f n ^ % totale. Il n’y a pas "de
’• U * p ô î î i i ( i n g é e b o u è n ^ s ^ s b n t petits; et c est à
peine sm1s mil um|ifil>erosité ‘pour toute pointp saillante. ‘Cette
■ espétee p ’Vifufe .ciùq rayons épineux à la' dorsale;! '
Û% 5/29 -/k.Àlfl&ï etfc'Av*
. Dans la liqueurÉlle pamîfd’ünigmîverââtre clair/ aVèd des na-
i^wolrcslvertiisles?brunes,Jpkfs noirâtres vers.'le bord; celui de la
ycaùdale a u^^^^fâan»Q fô’rtî lâfge.rLa'tpectorale.est auési brunâtre
etlâ' un large
individu a pris de'neuf poticeâ.
Un dé! ^uàtÿè^BtïcjésS' mais d’ailleurs fort semblable, na pas
de tubercule',semible.
rf^ÿôks ne serions mêtnè piàs étonnés MqUè notre individu
de'neuf ptotto&fe’eût pas’ encodé acquit tout son développement,
et qu’on ne trouve’ cette espèce avec une proéminence
longue et distincte.