pas effacée; dans la dorée commune, <^nservée; 'depuis long-tèmps
dans ^Baurde^vie. j
( Nous avons d’autres individus de la .^ïéditeiTanée qui" liû ressemblent
pour la grosseur et .le petit nombre, des écussons aux cotés
ae la deuxième dorsale, mais non par l'épine au fscapulaird. ' '
Lasplanchnologiè.dercettèiddrée à épaule armée, diffère très-pèû
• i r'de celle delà feotrimuné.!-
•Nous,;lui avons, trouvé, le foie^de^mêEne forme,- mais pluskminee;
, la vésieule du iiel plus petite; et le canal bépato-CTSlique: plus Ægurt.
.Il déb.ouche,de même entre ..les. appendice^ coec^les, ‘end sept plus
grêles et encore plus nombreuses. L’estomac est un peu plus petit;
ses .parois,, qupique. très-charnu,es, sont plus; mjncps, : , ;
■'-’r’CTè^'mæufestement un individu semblable que' Bbilde-
let a représenté, p.£ 328.‘ Sa figure'’exprime Jparfaitemênt
la grosseur des rayons de la première’ dorsaleJ, l’épàîsfeéur
et le petit nombre des éjmsspns “aux de la- sSçÇ^dè,
la longueur,et-la for&eQde l’épine js$|Lpulai^e ajpsijque
lame divergeTntè dont ^îiiRS^É^t-ariné^^enfiiii^dél^ôinte
^aigu# de Thuméfal. La.tàehee&ejîwqyânt dains}Gettevfiguire,
on doit croire que cette espèce 1 V^edmmèfjautres*'ia
Comment se^fiiit-il maintenant qu’iïm!p<MSft<*ï4 s i> remarquable
ai t) été? confondu' avefe^i-âe dcw§Mofêâfoaii;e ,r%® u~jpj4
(‘ëonti^tbute attentë^ée^n’eù était 'quittéerŸari^t^aeâSm-
ment lesr ôbsërvateurs ‘ont-ils tbus négligîrdènous instruire
des'ctus%s qui ramènent? ;’
DES CAPROS.
Le.genre desfcapros, établi par Laeépède, a quelques
caractères, communs avec les: ze.es, et surtout la profonde
division de la nageoire duldos. Mais ils.manquent d’aiguillons
le long délias dorsale et de l’anale. Leur bouche est
plus protràctile que-<efl?e de là dorée, et elle l’est à la
manière des equula ou des gerres.Toutle corps est couvert
d’écailles et âjjfres^Ldurs^dents"sont fort petites.
On n’en connaît qu’une .seule espèce..peu. .abondante,
iqjipiqqe j-épandue dans toute la Mediterranée. Il paraîtrait
quelle eu'sdrt, mais b.iem rarement; car nous n’avons eu
.connaissance dej^aprésence dans nqs eaux de l’Océan, qu’au
m o is,O cto b re de l’année,1 833. Lé docteur Henri Boase
;^vj .e'pimnuniqué à la js:q®iétéj^pclogique de Londres le
dessm d’un poisspn, prisvdans le Mount’s^Bay, sur la côte
4ë ^ ornouaillesvqutai%y»reconnu par lés icîAhyçlogistes
derGMj,e^sa£R|^e* s o c i é t é , l e .capros C La description
Jointe,à ee^dàsm ,ÆdE),nyient en tous points au capros, et
justifie pleinement la détermination.
g^jCetté,.espèMl n’était pas encore mentionnée sur aucun
catalogue j|esm©isspns q’Angîeietre, à' moins que ce ne
s/ait celui que,M^Ipuch a cru dj^oir rapporter au pagrus
totus argenteiis de< Sloane8. JNous avons bien déterminé
du poisson figuré à la Jamaïque par Sloane; mais
la ressemblance .avec Je .capros t Aurtout quant à la pro-
fractililéjélu ^i^eau,Mesii^ezigraiidè po u r qu’on puisse
s’y méprendre.'' L’opinibn dë^ -naturalistes de la société
1. Procledings o f zool. soc., i 033', p. 4 4 -^ p . 2:. Jam.s, 5*jab. fig. 1 .