A rg jc tiu s bimaculatus et de Scarcina (fuadrimaculata.
Mais il ajoute à cette liste un Cepola marginata qm, ài'a-f
près la description incomplète qu’il en donne ( Caratteri,
p. 56 , n.° Me nous paraît différer en rien du rubescens,
et qu’il n’a pu regarder comme une espèce nouvelle
que pour avoir jugé des autres seulement sur lès
mauvais caractères qu’on leur avait assignés. :
Walbaum (III, 117 ) prend aussi les trois espèces dû
Gmelin, en témoignant toutefois quelque doute sur le
trachyptera, et il y ajoute un Cepola iris et un Cepola
gladius d’après deux figures d’Imperâti que nous- avons
déjà vu être des gymnètres.1 *
Les vrais observateurs n’ont point agi ainsi : Rrünnicb
(p. 28, n.° 89) ne décrit que le cepola rubescens; et
doute de l’existence du toenia.
M. Risso, après avoir aussi, dans sa première édition
(p. i 53) , cherché à établir un Cepola toenia et un Cepola
rubescens, a. fini par reconnaître dans la seconde (p.
qu’il n’y en a dans la mér de Nice . qu’une! seule y le ru-
bescens, qu’il décrit et caractérise fort bien, ê t à' laquelle
il assigne exactement les mêmes cduleùrs que M. Rafi-
nesque donne à son Cepola marginâta.
C’est celle dont nou&alkms parler-et qui-est déja-assea
bien rendue, mais d’après-un individu sec , dans lesdfransaC^
tîoüéïififiéëfifiës/t. VII, pl. î ^ ’Çe poisspn n® n p p im e nulle
part cepole, comme on l’a cru faussement d ’après L in ^ y r
Les Marseillais l’appellertt roudgeole% les habitans de
Nice calegnairis 3, ceux de Gênes càvagiro e\ freggia.A
i. Voyez notre article .surÇf ÿSfifai.rr 2. Briinnich, Risso, i.re
ed., A i; a.* éd., agir — 4. WillugHby.
M. Viviani nous, assure qu’il s’y nomme aussi lamia.
Quoique lespèee paraisse plus abondante dans la Méditerranée
qué dans; fiô'tre océan d’Europe, nous venons de
ypîr que Montagu l’a |* j g R | et.d ap ^ è | un individu pris
sur la côte du L^priSiire, et ,1e même observateur en
àyait vju un seeqnd jndiviclu.,;
s Donavap.1 .dompte,la.Jjgnre d’up. troisième, et déclaré
en avoirevu deux autresr maj.6,tsoüjours,des,mêmes parages,
et c’dst diaprés lui que Turton jNj reproduit dans son
Brittiéi faüna, pl! g-^/n.0 3 i; y a is fions fié ’broyons pas
qu’il sê porte plus au Nord,\xâtrifld||s‘ 'ne Je trofivonâ ni
daLns Muller, ni dans i’bùvragfi r l^ e p r d è ^ . Fâber.
Rondelet a pepsé, mie kçe, poprm!t „jàlrê, je deuxième
myrps que Dorion cfpçrit dans son Atbénéê95icomme jtirant
sur le qgu^sâtre^.pu un peu .copieur de feu, v7tàÆuç{£ovrx ;
mais letpassage d’Atlas,énée meJp araitse rapporter bien
clairement à une dé noswxspèeeS de murenophis, dont
fiôpl appris dans la Méditerranée des variétés ribirès •mêlées
a4ve*ê? des vàfiétës ^rousses f Crriur’enôphis uhicolor. De
Laroche;’murenophis OEristini^ Rissô).
Le ixvqos est^çiRé. par Ai^£pt§3 à ,pôj^£du dont
il diffère pay sa çpuleur uniforme;. f,
Nous7 reviendrons plus loin sur ce sujet. On nfe trouvlf
'd’ailleurs , dans les anGiens auteurs aucune indication que
notre cepole, si commune dansda Méditerranée/'Soit cîtéq
dans leurs Hopvragés;
V ’Sa hauteur ^ux pectorales est quinze fojst dans 'sa longueur en
y comprenant la caudale, qui à elle seule, lorsqu’elle est bien enj
14 lpit. fishy mh V, pl. A. Ath., Deipn., I. VH, p. 3 12 , «;. 18.
=r 3. Arist., 1, Y, c. 10, p. ^ 3 - f