Nous ne l’avons que de la taüle de deux et; de trois
pouces.
L e s dessins de Parkinson, conserves à la bibliothèque
de Banks, offrent un acanthure semblable et avec la même
bande latérale, intitulé zeus elevatus.
Il /est coloré en jaune brunâtre.
C ’est aussi un individu semblable; quijviisnt d’être décrit,
sous le nom de fla v em e p s , par.M. Bennet, dans le Journal
zpologique, n.° i 3 , p. '4 ° 4 nous aurions,,même conservé
ce nom à l’espèce j_s’il në, nous :uarViisait trop peu distinctif
en comparaison du notre.
L e ca a n tje ;( petit i ^ j|Qfaa u panier} de l’ile de Manipe
(p a rt. I I , . n.° 1 7 0 ) , qui gKC^ dQSt0 x ^ ^ p p ^ p p ro f^
ban k a r de Y a len tyn , n .°9 o , est dessiné avec
un profil couj^^e^6^ftn! une dorsale assez
haute, ronde, une caudale coupée carrément.
Il est enluminé de'brûn, lès' HagèdireV'ret’tes, la poitrine jaune,
... tachetée de bleu,.unei bcpdeblaqçhe • longitudinale le. .long- du
milieu du corps, sur laquelle on voit( en arrière .quatre taches
ou lignes verticales bleues o’ùvctpgësp
Peut-être, est-ce une mauvaise figure de n ô tre,a ltïvelis.
On dit. que., .séché et mis sur^Jp^ grilr -son goût approche
de celui des .côtelettes de mouton. '
r Z/AcÂNTHU RE V?0I L-i ÊR.
, (^canthurus'Vfilÿfffo,Bloch.)
Une belle espèce d’aéahthure, remarquable par là hauteur
de sa dorsale ,.;a été nomm é e ^ p lifjç r om v,oiMer par
Bloch, qui en a donné une figure pl. 4 2 7 j mais ellen ’^ ipit
pas non plus échappé aux-peintres indiens dont Renard a
'copié hrs dfs'sins; ©n laVOït, pl. n.° 107, sous le nom de
^a^ ^ zp ow * '‘Kipas sïgnifiê^eïi malais éèéiïtàil, nom qui
’consent peift-êtrfe ‘encoïé mieux quë celui de voilier. Yla-
ming le donhe,r’o.° poq^isous'1 celui de kipas lakjé-lakje
(-4^®^taill,ip^.e^,i .gt n.° ; 2^0^ spus* celui de kipas param-
pouan (^veptaifjenrejljje^^ftlepty1!? qui parle aussi de ce
poisson! au n.s'4 4 ^ Ie U01hmc.de même ikan-kipas'-djantan
«(-pièhssoîinév-entail naâle<)j $j
u; L ’ê ^ èoe ^ a f S i t 'c o m m u é !àèTIsle-de-France, i d’où elle
'fiou^piTvêffuè?!'tfeinibre *<fe^bfs'‘ pfaF MMv Quo^-1 et G a i-
hhâl^cffWu^sum^Ë' ID'esjàrdiii^V mlf.sPé¥Su FJ* rapportée de
faréliip^el IfidÉ^jletî M. Ehrenberg.* dë la mei* Bbiijge,
où «,M. Ruppel djg|. aqîgfi’o j p j f r y q f j
Sa-plus gftgjde hauteur est une.fçns.et den?ie seulement dans
l’oyale^d>!4feoiiwpfpis,-^t deux fois «et quelque chqse dans s^don-
gueur TOfôle. La longueur* d€§pa^tête'<est une; ftÙff et demie dans sa
*' hauteur5 ison profflSfc-lé^èrement convexé àjdai m^que 'Seulement,
-des/efiBud aussitôt,,pais^ne ligne droite, qui devient 'insensiblement
? Gônie ^ | tti;qc0hîpter'd^^ÆaqteuiFi,.de l’éeil qui donne, auisb à
n 'son-. i^u’seau,oime‘Jormey.de^.gBQiial,-.Ses dehts;,,sqnt pointues,, les
, ? > supérieures^ ont iOjàze crénéMResa l^ÿinférieunes cinq^ ijj y a quel-
. qtaes stTnes âU 'scapulaire efra Trfuméiral ; la 'tëtér et- to^ut le tiarps
i ^'iié^soiiè couverts^audieu d^ecMilïesflque de’^trèsqîetïts grains Serrés1,
■ qui-font Sentir, àuxrdéigtsv; une' ïégçregapratl* La ligne latérale* est
xTi^assezJai-gfjijpIgie/i'pir^llèl^àJa'Jigne, du ,é,qs et au sixiànw» de la
„ hauteur; lajlatne latérale(deilar qjieue.estmédi&ci-e. La causale est
presque, coj^^e^carreme^t;la. dorsale, ,ën arc deheereje..,aurait,
... si$lT^erelevait entièrement, les trois quarts delà hauteur du corps,
(ét 1 anale en^auràitdKjmortié. ' "
*?*;jÉ’e& Une dfe^esp&eés qûi o'iit le moins* d’épiiiès dorsales, quatre
.seülementleSvihgt-Iiuit rayons mous.
tyvèpmêé} p. is5 v.' i)s;
;: I Les’ ventrales défont ^pointues." :1
10. H