interrompues. On voit sur la joue et Uopeycule deux ^ou. trois
lignes onduleuses, bleuâtres, lisérées de brun. Il y ^ q u e lq u e s
taches ou points bruns sur les nageoires verticales v et à la caudale
ces points sont;-disposés assez régulièrement sur les rayons-. »Les
pectorales Sont d’un gris jaunâtre, les vent-raies blanchâtres:
Ce b e l am p lra c an th e e st ’lo n g d e d ix pôttfôesï:5’
Il a le foie tris-brun ; le lobe -gauche' çk'1 quadrilatère, et n’a pas
de dentelures’sur’le bord postérieurj Iq vesiqulé du fiel*est très-
petite, 'placée de même que dans les autres ésp^ces,'Le'canal intestinal
est de même forme, a v e'c ^cîhqjcqèmms ’ au ’ pylore, dont
un est1 dirigé vers le diaphragme; èiÊmme al a‘ étne* déchirure à'la
naissance S a premierintestin-grêle,.ïtîsl'po(iirràit bien qü’unÿèoecum
-1 eût* été enlevé; alors le nombre' serait[,dç4§rx. Laj rate/estfpftiteççt
pointue. La vessie natatoire, très-grande, &'fS fcpaioa'S fibreuses
et très-brillantes. Les reins, sont très-minces. sTW,jgÆag urinaire est
..très-longue, nkis étroite, Te péÉïtoine est noirâtre. Le eanallmjlt-
tinal était plein de .dqtrctu^de plantes.
On ne voit guère sur la tête osseuse des amphacanthes qpe.la-
crête'mitoyenne quï'soh {j>rbndnceé; dans cferiMTfes^Tëcfe^elle^^pne
énéd're un triangle'-vêï'îmâï abéèzî é fô^; %ls; latérales -Se'^ieiit âiissi
un peu; la stirfâOe du-frontal estirèmarquabl'emeut'créusée'd'e petitéS
Stries; deux”grands,naseaux couyrent toutdîè devant dtt.rnuséâu. Les
intermaxillaires, larges/hauts et bombés,, n ’qnt prtaqufi pqint de
. pédicule^ ce qui les prive de^oqtft prolractiljté, T^.m^rHairp /
i P^a t et arqué, 5e qojle^à l’angl,e jatgral deïlibtprqjaxillaire,
. et .ne pêqtrpièçe,.fjyoir de mouvement propre. Le corps impair,de
l’os hyoïde se compose d; uner,lame, verticale et, d’que horizontale
en dessous; celle-ci est çn triangle isq^le^jQe sont ^ .secondes
pièces des stylets de l’épaule qui deviennent cylindriques ; £ t se
prolongent jusqu’au premier interépineux;inférieur, lequel ayance
vers eux une apophyse* et soutient aussi avec, eux le bord inférieur
du ventre.1
i. 'C’est d’après cetteespèceque M. Geoffroy â réjrësèrité^cètte structure singulière.
( Philosophie anatomique, t. L", p. 4?*, et pl. p, fig .108.)
Le cubital, dan^cettg. -espèoe/.est large e t grandement évidé en
•ovale. Le radial qu’un petit trou rond. Les os du cârpe n’ont
rien- de-partieulier^ie bqssèçkljesti comprimé, et remarquable parce
qu’d se suspend par deux apophyses, une ordinaire; inférieure entre
les.bojqdHnférâeurs'dèS’ cubitaux, ?et une-supérieure qui se prolonge
’e» avant,jusqu’e x huméraux. L’épine a .vingt-trqis vertèbres, dont
dix appartiennent,à;Jfabdonien.'Les -côtes sont grêles, he descendent
qu’à moitié de -la hàuteurndu\ventre et n’ont que de petits appen-
iî|dlel^lilâ^dicsâèinèî de chaque coté une .lame qui forme
au fond de la ca^té^^bOominale,- dans le haüt, tme eépèee; de petit
bassin. Les ^ p ^ h ^ s ^ ^ in |T Ï^ k - t‘ét ?même les interëpineux sont
, augmentés d'é’^àiMà^ssei^qsidansiilie’^ens de la longueur de l’épine,
qu\ dnfeept -b,eauGpup d è |d ^ ,s i^ k |^ 'a } i squelette. Gelles des interépineux
s ^ teucheht^ en, sorte que fènsjpoeible de ces os ne forme
' qu’une chaîne continue et peu mobile.
] L * Æ M iw à ç J i ^ n E R A t |; . .
i^ Ê^mphacanthus lineatus, nob. J
j MM. Q u o ^ .e t { ^ a im a rd jo n t r a p p o rté 'cfe V a n ico lo e t
d e la N o u v e lle -G u in é e , u ii ampl^caSythe d o n t le c rân e
est 4%^e ^ d e fijp|itîV|D,ombq&n|r;et,les;j« e u x , e t le m u se au ,
c o u r t, £® m m i aiuTeqmcutenatus ; mais q u i e st u n p e u p lu s
élevé e t q u i a l'o p e rcu le* p lu s striée»
Sa hauteur est deux fois*-et,demie dans sa longueur, et sa .tête
quatre fois et|demie.f Ses„ épinesHjSont médiocres, et sa queue faiblement
échancrée 4,en) croissant; ses épines sont assez fortes et
_ striées.; ,,
D. 13/10 ^ A. qjjb ©te. ' ’
Dans la liqùeür il paraît brun, plus: clair vers le ventre, avec
des lignes longitudinales peu marquées et des,taches brunes foncées
r sur k caudale. T r$ s e u quatre lignes obliques bleuâtres se montrent
î sous l’oeil et s.ur la joue. A l’état frais., comme les'naturalistes que