sine à Guam, et les Gouleurs Sont semblables à cellës qu’ont
trouvées tous les autres observateurs. ••
Webber, peintre du troisième voyage de Cook, en a
laissé une figure , faite aux lies S andwichoù on,le nomme
Ecar-vah. 'Les nageoires dorsale .et'; anale( ont j des lignes
obliques jaunes? et un liséré' bleu.
Forskâl et Ehrenberg dont pris d'ans la mer Rouge:
le ; premier nous àpjmend que leè-’^fabés de Djedda le
nomment abu-garn ^le père à la corne, le cornu). Il
indique l’espèrè éoi&me tellement;eommune ’qü’ôn Fy-voit
par troupes .de deux »cents?-et même de quatre cents individus.
Om lès prend auÆlét è t -au harpon, mais péint
àThamée©n.> Il ajoute quedâCnourriture de^epoissqn con-
siste eîr <üi que noùs^avdif! Vérifiénous-mêmes par
nos dissêedbas* &
Ehrenberg nous'à. Communiqué le dessiné d’un individu
dçjætte espèce^ pris au Cap^qhammed$ II pèintda
queue et la basé de la pectoralenemfaUtiè^ ; et ^eh cela il
.ejst d’apçprd,^y^,M. Dqssqmi^rj i} q ^ c^pqpdant compté
que cinq rayons .épineux à-la dorsale,. Suivant eux la chair
de ce poi§3ô*n est mauvaise, et elle est? si peu estimée a
l’Islè-de-'Frari'èe, quelle *sert seulement à la nourriture des
noirS; M. Dussumier l’a ÿii pêcllèr^pjincipalem eht dàîîâ le
!nord.-ouek de l’île, ou oh’eh fait d’aborfdantés 'sâràiSons.
1. Forskal dit que sbnpoisson éèut Ionâ d’iBÎegmiiq, et M. de Làcepede, prenant,
toujours l’aune du sffelÀ
il conclu! que la mer Rouge est plus favdrablé qu’aucune autre au développement
du uàsoii (vojezLééépî^t. ÏD, NbWéiieuïs n o # !p^flBsnraSnfcmTOmèm 'di
n’avçéi'; pas mpperté aveq autant de ©élMteVCê que M. «|)e Laqépèdej tq
pêcheur fk à FQrskal sur le courage cfë’oes poissons, qui auraient pu, disait-il, se
défendre- pâr'lêïïr“norhbré' cehtrè Tes àttâquélfd’uü" Vqpe'eC finir même par-mettre
à mort cêt oiseau dè prWe.
, L e N a s pN A; ÉPIN.ES gOURTES.
bmchycçntrQtti; ndb.)
Umïiasôn rapporte de Waigiou avec celui qui est cité
dans la description précédente, et qui lui est très-semblable#
même ‘par le profil egalement obliqué,
.„majs „un peu, plus »long, la cornp prolongée horizontalement
jusqjm suivie bout ,du museau, et, plus min^e f t un peu carenée
en dessus.
Les plaqy.es,sailla;ntes,.gur les boucliers de la queue sont à proportion
plus grandes (,et, plus élevées.^ ti
Il n,ÿ,a,que cinq épiq^S|^ la.jiorsale, et qui ont à peine moitié
de la hauteur de, cellgs^e l’espèce'précédente; elfes sont en outre
beaucoup pltefcgrosses : en-général^toute la dorsale est moins haute
à proportion; lames latérales de lep queue sbnt-.au contraire plus
grandes et-plus saillantes; les feaillè’s forment une âpreté à plus
‘ j gros grains. Il reSseffiMeàuVpiëcédent'par tôüâ les autres détails.
hjWf’A’:i,fôé^(S. ie5vP. 17; V. 1/3.
Mais le peu' de hauteur deâ ràyo’ns dé là dorsale caractérise Suffisamment
dette êspece*.
‘Notre individu esst long de ÿingt pouçe^ dans l’état sec
il parait toiit. gris.
Le N a so n actr o is b o u c l ie r s . -
1 . (Naseus, qripeltjs} nofe; Tandock, Vlam.)
On trouvé «dans l’ouvrage de Renard., I.re part., pl. 4 >
uae figitrtejCjOpiée.de Ylamiug, n.° 200, et intitulée
Tandàck. Ce. nom, qui n’est vraisemblablement qu’une
copie erronuée du nom malais Tandon, qui signifie corne,
aura très-probablement été donné pour exprimer ce qu’il y