ÉË Nôus ayons.tyotxvè-des'safli^QquBs et d’aütrés petifsifeifis|a©!BS’dàns
son* ëstomacr3fî]
Le squelette du iSan^li.Ér^ressemble-à'fieÈurîde la dorée .par les
os- càrac'oidiens)<aXong^, qjui vont rej oindre, les i épities»que desktop
d’n >ssin,enwapt-jen arrière ; mais je ne-.luiKfcrjpp&ésqne .jsjpigjt-
déüx où vingt-trois yervt^te§.-S.eSïQÔies sont courtes et grêles;,stoh
c.r.âne p'sseux est' ouvert én; arrière de deux larges trpus de chaque
ièÈmk-^f
CHAPITRE XXII.
Des Lampris,, des Equula et du Mené.
• Les,. Z^es dont il va ^tre: traité dans,,ce chapitre, forment
la s,econdeSl ction dje lacinqurèfme tribu des scombéroïdes.
Ils n’pnt .qu’une,, seule,, dorsale.
•Le premier ^erire de ||ki groupe ,e,st établi sur un poisson
de nos côft.es ; mais elles ne. nourrissent aucune espèce des
deux autr^igeures, qui sont tous deux propres aux mers
des Indes orientales.
- .DÈS -LAMPRIS, ,
et en particulier du Lampris tacheté ou Chrysotose,
nommé aussi Poïssom luné.
' 5(Lampris'' giïmziüs, ïtetzius. ) f
xi\Ce§t*une chose,bien.singulière qu’un .poi§sp.n aussi beau
et aussi grand que , pel;ui dont ,no,us faisons ^’histoire,, et
qui n’est pas même très-rare-, cLans nos mers, ait été .Récrit
si tard, ^ su rto u t que les auteurs, qui l’ont djçrit,
aien-t^pnsi.peu d&TPOqnaissances de leurs, travaux respectifs.
iisijÇnqjt.du^ord qu’il paraît se rendre dans nos parages;
du moins on l>,..pb.spjyé plus souvent dans, le Nord que
sur nos cotés, et^cé n’ps-t que depuis très-peu de temps
que l’on a appris qu’il pénètre dans la Méditerranée. La
première figure'que l’on, en ait ést#de i684> dans le Scotia
illustrata de Sibbald (pl. 6,'fig. 3). Il y est représenté trop
alongé* et aucune description n’accompagne cette image
incorrecte.