Gymnêtres, avec Bloch, n’y ont qu’un seul rayon fort
alongé et dilaté à son extrémités.! ']
Il nous a paru que les premiers avaient tous une caudale
singuÈèiteiûent si tu ée, •’ne*i',p»s'»atu'lsèiiit; oe* là kpïerièv
mais au-dessus ' de ;sdn extrémité , ie^ dirigée? vers Je jhaut ;
que leur ligne latérale, était garnie d’écailles, armées: chacune
d’un crochet aigu; et. que leurs mâchoires ^ayaï^nt
toujours des dents pronéU^é^i.Q^
' Gette nageoire caudale ne '^dst’point trouvée1 fdafts les
autres; leur ligne latérale>naî aucune armure, et ltS d é h # |
,quand elles existent, sont?5Si'petites qu’on'“peut à peine
les sentir. Ces deux derniers caractères nous paraissent
assurés : quant à la caudale, nOus;n’oserions;affirme fbque
son absence n’ait pas été quelquefois de* ^produit dé la
mutilation. Cet'état dans lequel on rencontre ces poissons-,
dépend de la mollesse et du peu deconsistaneéftde leurs
parties, qui sont telles que les individus àdulfte#'iÊift jijÉ#*
que toujours perdu -quelques-unes* de leurs ; 'n ageoâr ëslHa
ari Ces circonstances tiennent à la nature de leurssquelette
e t de leurs musd.ë§|set ils oârfentén entre dès particularités*
plus extraordinaires que l’on en observerait dansUe plus
grand nombre des autres^ poissons.
■Nos Traùhyplhres* ont des pector-ales^médiocrès' et
des ventrales souvent trës-développées^’la forme de leur
eorps esff comprimée e ti * alongéetScOUlme un ruban; du
comme une lame d’épée; toufrle dessus est garni d’une dorsale,
isdont la partie antérieure; séparée par une .échancrure,
s’élève en panadhe.
1. Gë noiir, composé par' Ocmafe^dèS'mots r ^ i^ ^ tT ^ ^ é ji et
exprime un caractère qui ne convient plus aujourd’hui à toutes les espèces.
Leur b®û;^e^q^trêmement prsotractiley leur mentoà
çsaillapt loris de la rétraction ;, leur mâchoire inférieure
mopfant^ leur# grands, yeux, ler^yifc’éclat d’argent de
leur peau -éfesm'èllcs; couleurs , de leurs' nageoires,da grandeur
à ’laquelle parviennent plü^eur&de1 leurs- espèces, les
rendent d fjà
.^iLe nom de gÿfmptrus.a él^$^mpc^ Bloch,- pour
désignée des,ipMs$qr|sMà'yéa^ïalt8 ^l’hir seul' rayon et sans
magnoiré^analqj il viç|it, de j^ü ^fsî( n u j de- yvçàpifye
1^'gCime.Jauquèh;^ nom s^ap»-
pliqiie ,,ait»Ute'h^^a©in qui'^b entrè^aofdsmt la caudale?*
tout dfe demejdJ de la, quepd^*eM|K)utvus de nageoires,-et
mêmé^dMjipètites -épines qui eji\sj©fnt< dalreprésentation
délias les TriohimréstVï‘
| C’e s^ d an s le meme- isens, q u e ,Brünnrch ayaitu:ompqsé
.celui hqigymriogaster,lj>o u r le %),Qgmar d’Islan d e, -poisso
n q u i s R a p p ro c h e p^ésque en tout de ceux q u ’on a
appelés, gyrrinetres. -Luxais le gju^g %u q u el | ^ f g m a r o u
gymnpaastre a p p a r tie n t, e t q u i différé1^ u u o u t' dés, gym-
q è jre s p § | - ventrales'JL p lu s i^ p p ^ r^ q 'n s ^ ^ a i t r q t é au -
paraVanqbienmGaractérM par Gouany-'et e n ’avait reçu le
n om a d e T r a c h ^ |||r e , que nous m&gÿji lu L e tre
conservé par droit légitimn d ’an&t^lk^té.
Ils o n t|d ’aiilfeurs Vécu. d,esfnoms différent,‘ sélon que
chaque'auteur Jes^a vus plus ou moins ,;pip||0. Rondelet
et Bélon. en ontiparlé presque, en même temps^et en
Ont donné des figures, mais ^d iffé ren te s que personne
pe devinerait qu’elles appartinssent,, à un même^genre,
peut-:êtrfe« même à une seuleiies-pèee») .et cependant cela
est trèé-^âil^!
' Le fa ix Fenetorum de Bélon, p,s 137., dont Gouan
' 10. 3o