Elle a j comme la précédente, cinq^payopasià la dorsaie/ies pec-
toralestlongües et ppintues, le vertex peu sillonné, et douzerayons
à l’anale.
D. 5 _ 1/93 A. l/12,,«tc.V
La couleur a du être tinifotxritocnt've'rdkré^ lë dos, argèHtée
'sous ie ventre, sans lignes noirâtres lfe -long des flancs.
L individu na que trois pouces de longueur.
Daas les deux pragiières^subdissions dps;athér^£&, la
bouche descend obliquement jusque sous l’oeil, et la première
dorsalej quoique^plus ou moins reculée, demeure
toüjours vis-aT^is. d’une partie ^es, ventrales.?' |
Deux autres subdivisions, différent de ?p«Jhî$-K-: l’une
par la position de la première dorsale', située au-dpssu^
de l’anale ; l’autre joint à, c^caractère, -tire de’ cettè ^posi-
ÿpn, reculée de la nageoire, une direction différente de la
bouche., j
Z ’A t h é r in e d e la M a r t in i
1 ^^therïna jHàrtMicfâ rilbiL ’ ~ «
La Martinique a une athériue, du premier de ces -deux
ïypçs,%ui se retrouve probablement aussi, daus les autres
Antilles, etiqui, pour la forme générale et pour lagràn-
deur, ressemble, à.s’y.méprendre, à nptre sauclet de Ta
Méditerranée.- a-y
! Mais en l y comparant , oij. trouve que sa première, dorsale est
béaucoupplus erl amère., et répond* non pas aüx vëntrales, mais
au commencement de Pàékle1, que ses écailles sont plus grandes et
ont le bord crénelé, et qu’il y a dix-huit ou dix-neuf rayons mous
jf. à son anale. Sa première dorsale n’a que six rayons, la seconde n en
.. a qu^iseptrmous. t
D. 6 • A. 1/18 ou, Ij9 ;jpr 171 % 16 ; V. 1/5. -
Ifps individus, longs de quatre pouces/ont été envoyés
par M. ,Pl>ée. |
L ’Athemne de Stix.
( Âtherinu tmnvata j Agassis. ) ’M
La petifê* athér ih'é^’*5 <Jué’’ nous trôuÿolïs figurée dans
Spix, pa| M M È ; d'après* jrn individu' çôn|èrv4 dans le
Mus.rçPjfe Munich’, paraît /leypir p/ènc|re plaèejj près de
cetté - esbè.^^w
F.n,j^%|.,j lâ touche,Kest fférfueijnsqpe^ isous l’oeil; sa; première
dorsale egtrtrès^petite.; lesjjï&mbres de là:-se.conde dorsale setfle l’anale
,, jspnt assez différèpsi?Vôici comme MB^assis ai comptés.
f D; l&fcZ/A’. 15/C 1T^ V: M
’ L’individu, long^dc quatre j|Qucj3S, et quelque chose,
èst brun sur JerddÉ^t*argenté sur {le ventrue / la raie des
cotes,»est large et brillante , mais, pas? plus que dans les
autVes espèces, de sorte qu’il n’y -a rien dans celle-ci qui
justifie particulièrement l’épithète de tteniata, jsous laquelle
le professeur- de Neùchâtel l’a
zoologistes.
î^ptre quatrièing et dernieyti;ype^esflath(érines se xeepur
naît tout de sijtite A une physionomie particulière, produite
p a r la pothess ^ c b .J ce^at par une bouche dont la
fente m pénétra pM a sq u a la moitié dii la longueur du
museau : cette fente est d’abord horizontale, et se re~