Z/'AcANTOtJRE ÉCUYER. ,,
a {-Ac'ajif/thuriis armiger, nob.),,,,
Nous avons vu dans les dessmSCde l’expédition russe]
commandée par le capitaine L ü tk c , une figure faite par
M. de Ketlitz,- e t représentant un acanthurëTfoVt voisin,
mais d istin c t,'d u p rëôedèïïtf
Ses formes soilt a. peu près les -mêmes,, excepté sohmuséaû,
qui est plus aiguisa’ caudale est écbancréede la mêmer manière.
U est tout entier d’un'brun fohc'é l tiédît'au noirâtre sur l’anale
èt sur la caudale,. laquelle a un krge'bordmitfon. A isdn, épaule
est>ussi tme large bande orangée; mais-au lien de se'diriger, horizontalement
, elle dëscend. verticalement et jusque derrière la pectorale
, qui est jaunâtre et „transparente.
La figure, est longue de six pouces.
Ê Z/’ÀCAKTnpRE BARJÈNE. f#|
(Aqanthiiriis nwrhmîf&r^ nob.) ï
MM. Lesson ei^Garnqt o ^ T a p p o r t é d e Wa ig iou un
autre.acanthure,- qui- a la caudaje en croi_ssanjt, Ji pointes
lopgues. et ?ignes^^oemmeles Ar éc éde iis-, mais q u i.se % ït
remarquer aü p r em ie r3coup d’oeil
Par la courbure de son profil, lequel, dçptps la nuque jusqu’à
la bouche, ne fait qu’un arc-detcercle, dont la convexité, eSjJ,m êm e .
un peu plus .avancée que la bouche, en sorte- que celle-ci est au-
dessous de la tête. La longueur dé son Svalè, 'Lf-queue nonoenf-
prise, ne fait qu’une fois - et deux tiefë* Sa plus grande hkutèur,
qui est non pas au milieu, mais au tiers antérieur'à l’endroit des
pectorales. Ses écailles du corp£ sght prësq'ue auisi grandes que
celles de l’âcamhure Tàjé.'et lés cils de leurs bords, se voient
même à l’çeil nu. Toutes le$ parties de sa tête et de ses opercules,
les;dèyres(ëxcejptées, sont, ainsi que sa poitrine couvertes d’autres
écailles, beaucoup plus petites.' fi’épaule seule est, nue,et a-l’huméral
gtrié ej^ r^qns. Les^ dents,.an nombre de^seize à vingt à,chaque
et crénelées sur une partie dl'ïeur
pourtour*" ses ventrales’ sont alongtës eh pointes; la première
’ épinfede sa’'TOr®fe'iestrtbnt'-à-fait*câ$néèl'sbTis/la peau.
A tij^ w Ê ïH ; P. 16; V.
T(®*“celtoo'issM> est aj^bOTun ioiicêj/une ^{achë’ ronde, d’un
h'pirt blèüâtre]-mârquWïfe naut J3e 'fl‘ fém'e qeS'ohïéS ; l’es bords de la
- fente où rènt^Fépine lâwMe 'dë la^ifeU^,5 Tént1' d;un^ndîr violet.
tju ruban bleu c râ fe^ n e iè'ldflg'.de la^bâse'de kdorsale et de
, tjellè ,de l’ari|i^fe|e‘-bord de l’anale a kussi. Æ ïiseré bleu, et le
long du'.^ôrd de la dïJrsàle fègnent deux oû.'troist’nghes étroites
et violette.. ,,
î;Nq^re in d iv id u est long d’un pied.
GetteL'espè(2tè poite*^. W a ig io u le nom de B a r iè n e .
L ’A c a n t h u r e d e L am-Arre.
{A canthurus- •L,àrrxar1rdi^ nob. )
M. Lamarre-Piquot.n rapjlortéîy^e l’Isle-de-Francé un
a^ n th u r e Brürr ; à peu près de la forme du précédent.
i hauteur n’est, „pa? -j|eux]'f0iS je|j un -tiers, dans, sa longueur;-le
. profil, l§ggrJern’éns! et, p:niformém'ent!ï-cqù£vexe, est un peu moins
jîjjboiyfbé; la caudalg,|s|'raoins;pfofondiément échancrée en croissant,
-, ,et l’oeil e^t^pr^squ^au quart supérieur de la hauteur de la tête.
SeSnpièçék gperçulaires et sestos^d^répaule sont assez fortement
striés.
Il paraît tout entier d’urr.brun vineux, il manque de la tache H noire mais son épine est entourée d’une
m taéhe fnoirâtre, et la hase. de sa caudale pffpo, sur une nuance
violette, un peu plus claire que le reste, des traces de points bruns.