nous venons de citer l’ont peint, il est d’un blanc bleuâtre. Hé#
lignes longitudinales fauves parcourent sa longueur, au nombre
de neuf ou dix , formant vers le dos des îles et desj noeuds^s’in-
terrompant vers le. ventre, se réduisant à des points près de l’anale.
Sur la tête se voient des lignes, alternativement rousses et bleues,
descendant obliquement en £jvant. La partie épinéuse de la dorsale
et de l’anale estjaunâtre; la partie molle est, ainsi, que la caudale,
- d’un brun .pourpré; des taches rousses ou brunes sont'semées sur
le bout de la .queue, sur la caudale et sur la partie molle de l’anale.
Les ventrales et les pectorales sont jaunâtres. Le dos a, près de la
partie molle de la dorsale, une large tache jaune, semée dè petits
. points noirs, et entourée d’un *eercle roux.
Nets individus sont longs de sept- ou huit pouces.
Cette espèce ^commune à Vanicolô, est nomméefeneley
par les indigènes,
jL ^ÂM PH À C À N T H E CE R C L É .
- f Amphacanthus doliatusf, nob. J
Une autre espèce, venue aussi de l’île Bourou, portera
le nom de cerclé;
parce que sur un fond qui. dans la liqueur parâîr'gris pâle ou
brunâtre, elle porte un grand nombre de bandes étroites,, bleuâtres,
lisérées à leurs bords de brun, et qui descendent verticalement
depuis le dos jusque, vers le .ventre,- où eHî&s se perdent
dans un fond, d’un blanc argenté ; .il y en a .uüè trëhtai'rie " depuis
l’ouïe jusque sous le milieu de la'partie molle de la dorsale, où
elles se Contournent et finissent par en donner deux ’ou' trois1 qui
marchent longitudinalement jusqu’à la caudale; le loàg-de la dorsale
elles forment aussi un peu le® labyrinthe; sur-fe chanfrein elles
- sôùt transversales ; sur la joue et au-dessous de la pectorale elles
descendent obliquement en avant; sur l’opérciileielles sont transversales
ou forment de petites îles. A l’état frais le fond- de la couleur
est orange, tirant au jaunâtre sur la queue et au violâtre vers le