pv ï ne coatiéM rfén ^M.*;pèleonfirme ^ la
figtee annonce t lesi mots? caput supra ■ planiusculum,
nudutrkj M€©«o&ij'&'|;:m€ldBis •n^^'efepiiOfif. Bü«&üspsi*Ê-*
C'ïs GiRdi’ïER sêx. SRrf do'rso ^paraissent même* se rapporter
partieüiièl'efiïem auf* àûégalffiBës; t o erâbe desfeirR#; e a p ^ 'i
Les ïipmbiTæ de EoAter (B. 6 ; D. frîiiJ9; À. 4S^ Ç. 1 8 ?
P. \ 7 ; Y. \ /o ^ reviennent aussi ass^e^actement aux nôtres.
Il^vait troi^é^dé 'pçfîssën attx eiUKoÙGhn.reS' dls^petits
ruisseaux â|s la Jlouvetle-CalëdünievL'es indigènes l e ^ m -
maient m’bçti. , 1 2
Nous en ^i'eu& às un individu qui vient de cçmême
endroit, et dont touy“tes^caractères jïistifient;^nÔTre rap-
proeheUieUt.
Cefté é^i^eë nbu#^ <ëtêf:ettvo^éë d^bford de Sumatra
pàfvlMM. Duvâiiô#*^ DîarcF. ÉMe^èfet'- âfùs’si-venue1 de
WâygipU^par" ie^ ëd ïtîô ii ' <ïè Ffeÿeîuët;,^ | t , MM. Quoy
èt Gaimaid en ont parlé’sous le nom d'atfoerina w a j-
giensis1, mais en la confondant ^yçeïa précéoLente.
Les mêmes natUEalffitesï-iont retrouvé! e|tte fesj),èçe. à
Amboine et à VanikorO, pendant leur second voyage. '
/ / à F i ïê iü ^ è d ’É n ô r à c s v .
, ( Atherina endrachtensis.a) „
Une quatrième .athérfùe de cette subdivision vient de
la terre d’Efidracbt, et en général de la ' côte sud-ôtées t
dé' la Nouvelle-Hollande., d*où elle a été, apportée par
Pérou et par MÜFQutjy et Gaimard.
1. Voyage de Freycinet, ZooL, p.3'35.
2. Quoy et Gaimard, Voyage de Freycinet, Zoologie , p. 534.
fille a, cG^nme la p r é çé é e ia e, le s ieafiàetères qui la rapprochent
! dermsjjre j^ ë l ; mais. «011 çdme .est foeanooup p lu s k r g e . # mesure
entre les yçux le sfedeux tiers de sa longueur. On y voit aussi le
triangle d on t,.bous' avons parié ’ dans l’espèce précédente, mais
p r o lon g é .un pou ,plus e n , f » t v La longueur’4 u m ^ e a u ne fait
•^paàWrtS du diamètre de .son
corps est un peu pfos^'onsidérable, que dans l’espace de Fp^ter.
Ses écaSBrf?aom‘die afsèpt ratigéés, lon tlo ifc aussi un peu|>lus
larges, mais sa bande%rgerrtée .est, plus étroite. Elle est de toutes
les espècés celle qui aj.k pectorale la. plus longue et la plus pointue,
file fait un peu moins du, quart delà longueur totale. Sa pre-
ifp tâÈ dorsale n ’a que cinq rayèiîsl'et ite riomhr-es.de l’anale sont
assez dijffénëtts pour dewe^ -%a‘lement C£fractérislâques.
5 il/tO|i||W;F. 14; V.4/|b>V..
Pendant ^expédition s o b s l e s brêres de M. d’U r v ille ,
<éëtteLésiffèee ■àl’ëtë 'rëtrôuvée sur des cotes de la N ou v elle—
Gnm;éePj!
.Ces indi^dus1, plus frais que les précédées, mfpntrent des différences
‘sèrMÎdes de couleur : un trait noirâtre est formé -par une
sérielle petits points sur le milieu de la bande argentée des flancs,
et, il y a {au-dessus de cette bande deux autres traits semblables,
aussi.marqués, et un quatrième, plus effacé, près du ventre.
.Sa grandeur est la même* ..de trois pcpces et demi à quatre
* pouces. Son squelette n’a que trente-six vertèbres. C’est à la dii-
. huitième que commence le cornet ; mais il ne règne .que sous
.trois «vertèbres, et ites apophyses qui le forment ne .sont point
- dilatées.!.
£ /A t HÉRINÈ A DÔUZE RAYONâf
{ A t h e r i n a d u o d e c i m a l i s , nob.)
U n e cin qu ièm e e.spiîcç,, Voisine des joëls* a ete rap-
p ô r tle ^ d e -Geïïan au .îtù sêum - ^ t o o i r e m to r eU e par
sM. P eyn ault.