!^“îjes sixtautres ra^^* epinlux,^Tit d’un tiers plus bas : ils sont
aussi plus faibles K moins rugueux.
Les rayons mous sont beaucoup pluj^côurts ; on en compte
vingt-six.
Ifn^Wale dpihmeMe a l’aplomEr du quatrième rayon épineux de
b fdqMale': -.elle a trois épinqs,. éjout la première est forte et du
doubl^pluS' ïo n g ^ que Igs, deux, autres. On compte ensuite vingt-
huit rirons mous, qui nè |jp t pas plus élevés que ceux è&M dor-
;* sale. La-lqueue cpmmçngc japrèsI ces deux nageoires, et sort du
_ cercle qUet forme, fe rp^te^du jqojçpsj sa haufeur à ^ naissance n’a
qiiwBft mnttèirmBde celle du tronc :reijfe^elargït .ensuite un peu
E ^ SWecevoir lajcaudale^ qui, est* epug^e carrément .à fspn extrémité.
^ës^eetôralés^^mxtrîângulaires et attàchées‘sousTarigle de
^Opercule; elles ont treize” rayons; ‘
Les ventrales- sont' tfikées en avant des pectorales sous l’aplomb
■ urin plus long que tous
les .autres, set. fortement rugueux.
B. A? Ai 3/28; C. 17; P. 13; V. 1/3.
> La peau n’a pas •â’écaîlles, mais elle est tôüvérte de petites
< grànidlfticm&^rréeX^bblmjgues, fines et-placées comme de la
•mosaïque. Cette disposition #st surtout fecde à voir spus la gorge,
ayçc une loupe. La .ligne latérale .est peu marquée, elle suit la
„ .courbe du dos., „et est tracée, par le sixième de la .hauteur.
La cQÛleur de ce petit poisson est jaunâtre, et on voit la tracé
d’une bande verticale grise sur l’arriére du tronc» et d’une autre
sur la qti.eué près de la caudale’. '
L?opcrcule et la gorge brillent d’un bel éclat d’argent poli. L’iris
de l’eeil est aussi argenté. Toutes les nageoires sont incolores et
transparentes.
setQ individu qiie nous ayons encore vu n’a que
seize 1
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